En ces temps difficiles d'individualisme presque forcené, pemettez moi de parler, un peu, pour ne (presque) rien dire.
J'ai plusieurs livres dont il faudrait que je vous parle, mais là, pas le temps, et puis je dois agir par priorité.
Il m'arrive chaque jour de me demander ce que je dois traiter en priorité, voire ce que je dois vivre en priorité. Faire des choix, m'engager ou lire au coin du feu, travailler ou attendre le lendemain, sortir ou faire les magasins, dépenser ou donner, être futile ou sérieuse, plus égoiste ou plus généreuse.
Il m'arrive chaque jour, ou presque de me dire que ce petit moment, cette parole drôle était un moment doux. Ce n'est pas rien. Il faut simplement prendre un peu de recul pour se rendre compte que c'est ainsi qu'on l' a vécu précisement.
Je suis optimiste ce soir. Je me dis qu'on peut toujours en avoir plus.
4 commentaires:
Désolé de te contredire mais tu ne parles pas pour ne rien dire.
Et hop, une bise.
Oui, la tu parles pour dire beaucoup, je trouve...
Merci de cette lecture qui sera un des doux moments de ma journée...
Je vais m'endormir optimiste...
J'ai juste envie d'ajouter une petite citation : "On peut allumer des dizaines de bougies à partir d'une seule sans en abréger la vie. On ne diminue pas le bonheur en le partageant."
Voilà à quoi tu me fais penser, cher pays des rêves
C'est gentil ça...je n'en rajouterai pas, pour une fois (Zapata, tu auras "comme même" une surprise...)
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