Ne jamais croire que c'est perdu, ne jamais croire que c'est gagné...
02 avril 2009
Chemati et le payo sont dans un bateau...
Tout avait mal commencé...Seule dans une salle (madame Cruche ne s'étant pas présentée), je décidai d'aller tenir compagnie à mon compagnon d'en face, c'est à dire, à notre Chémato national (en pleine forme pour l'occasion).
Premier problème: mise en place de la nouvelle carte pour entrer dans les musées...Sarcasmes...
Bref
Puis, je fais une petite blague sur mon incompétence à une mère qui ne sourit même pas par politesse.
Rebref
Peu de temps après, j'entends, étonnée (pas totalement blasée le Pays), les propos grossiers d'un enfant que Chemato rabrouait (j'aime bien ce verbe, mais je ne suis pas sûre de l'orthographe),
et je sors ; là,des parents en colère rassemblés sous l'égide d'une grande conne (enfin, appréciation subjective).J'essaie de les détendre.Rebide.(à ce moment précis, vous vous demandez où est passé mon talent extraodinaire pour détendre les gens? Et ben, j'sais pas.)
Rerebref
pendant que Neige a des frissons dans le dos, j'essaie de parler
- à une mère qui ne fait AUCUN commentaire (même pas hm-hm)
- à une mère qui est traduite par sa fille de 8 ans
- à un père qui a trop bu
- à un père qui me remercie pour sa fille qui a réussi par sa seule volonté
- à un père qui serre les dents en regardant sa fille qui n'est pas si terrible que cela
- à un couple ravi (et manifestement heureux) de la (toujours) réussite de leur fille
- au beau visage d'une mère dont je ne suis pas loin de tomber amoureuse si je me décide à changer de gout
- à un père qui souffre encore manifestement de la mort de sa femme
- aux délires néo baba d'une mère plutôt marrante au finale
- à l'absence de la très attendue madame Harpon...
Je vais à la ligne pour parler de l'entrée de madame Rivoir, qui nous fait bien marrer Chémato et moi, défiant les lois du bon gout, des coordonnés colorés et des phrases extraodinaires...
Quel beau métier!
Un moment de notre quotidien
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3 commentaires:
Madame Harpon alors ne piqua pas...
De loin, j'ai assisté à la mise en place de la carte pass musée (Le pays fait aussi dans le burlesque)
la petit fille de 8 ans en traductrice, très mâture et très douce, ce fut émouvant et étrange , comme un monde où les enfants ont pris le pouvoir sur les adultes.
le plus beau métier du monde, j'ai essayé de deviner à quels enfants correspondaient chaque parents. J'en ai trouvé 3 seulement !
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