Perdue dans Thiais, j'écoutais cette chanson des Bananarama qui tombait bien puisque je revenais d'une séance de Barcelone à la Woody...
Si j'écris cette note ce matin, c'est simplement parce que la coïncidence entre la chanson et le film m'y a poussée.
Je ne sais pas trop quoi en penser, à vrai dire. Comme d'habitude, j'ai parfois du mal avec les changements d'avis des personnages, parfois d'un plan à l'autre, avec l'ironie perpétuelle qui flirte avec la caricature, avec les clichés proposés comme des règles de vie qu'on ne peut éviter (le mari en prend pour son grade...).
Alors oui,le réalisateur se fait plaisir, filmant avec volupté les trois actrices pulpeuses, s'offrant même le luxe d'un baiser saphique entre les deux bombasses,et l'acteur, avec ce film, n'est pas loin de supplanter James Bond à la place d'"homme le plus sexy de la planète" (et semble bien s'en amuser...), mais la boucle finale bouclée nous laisse sur notre siège, sans réel espoir de bonheur possible.
Insatisfaction ou frustration, merci bien. Reste le plaisir, à deux, à trois, à plein, au soleil, sous les arbres, tout seul avec un stylo ou un pinceau à la main. Je crois que je vais garder cela, finalement.
Ne jamais croire que c'est perdu, ne jamais croire que c'est gagné...
28 octobre 2008
27 octobre 2008
ni queue ni tête
Citation de trois élèves (garçons)de 4e:
" Au moment où elle s'assit, on vit ses fines jambes pâles ; ses bras étaient les répliques de ses jambes, mais en bras."
(au XIXe) "A travers sa robe moulante, on voyait qu'elle avait la ligne, ses cheveux noirs étaient brillants comme les miens."
"Elle avait les cheveux blonds et une petite bouche fermée... On voyait dans son regard une incertitude et surtout une femme en dépression."
Hey, dois-je m'inquiéter???
" Au moment où elle s'assit, on vit ses fines jambes pâles ; ses bras étaient les répliques de ses jambes, mais en bras."
(au XIXe) "A travers sa robe moulante, on voyait qu'elle avait la ligne, ses cheveux noirs étaient brillants comme les miens."
"Elle avait les cheveux blonds et une petite bouche fermée... On voyait dans son regard une incertitude et surtout une femme en dépression."
Hey, dois-je m'inquiéter???
26 octobre 2008
Vise pas ta grotte maya
Interprétation libre de l'hymne de l'Union soviétique. Pour les vraies paroles, c'est ici.
24 octobre 2008
Keski zéro, la géographie un
Keski aurait vu le dernier film de Woody Allen...
Keski ne se souvient pas de la ville qu'ils vont visiter pendant le film...
Keski m'assure qu'Oviedo, c'est près de Barcelone...
Comme disent les élèves...SALADE! TU MITONNES!
Oviedo, ville du Nord-ouest de l'Espagne!
Même la patate aurait fait mieux (Bon rétablissement au passage).
Keski ne se souvient pas de la ville qu'ils vont visiter pendant le film...
Keski m'assure qu'Oviedo, c'est près de Barcelone...
Comme disent les élèves...SALADE! TU MITONNES!
Oviedo, ville du Nord-ouest de l'Espagne!
Même la patate aurait fait mieux (Bon rétablissement au passage).
22 octobre 2008
Violence sonique ou le retour du vrai métal
Après 5 années d’absence les Quatre hommes en noir de Métallica nous reviennent avec galette plastique très métallique ; Oreilles et âmes sensibles s’abstenir. Revenant aux fondements qui ont fait leur succès, les « Four horsemen » ont confié la production de ce nouvel opus à Rick Rubin, charpentier du sonore des Red Hot Chili Peppers et autre Pearl Jam des grandes heures. "Death Magnetic" renoue avec la lourdeur des riffs et les solos incisifs. Lars Ulrich redécouvre les vertus de la double caisse et la basse de Robert Trujillo apporte la dose de groove nécessaire pour insuffler un nouveau souffle à l‘ensemble. Metallica demeure cette machine rythmique impeccable, qui revient mettre les pendules à l’heure dans une scène métal bien atone et mise à mal par les relents d’années quatre vingt ou autres bouses telles Justice (Comment peut-on porter au pinacle deux mecs en perfecto qui jouent de l’orgue Bontempi et de la console Atari ? ) .La violence musicale se double d’une noirceur des paroles renvoyant aux années de dérives du chanteur James Helfield, qui martyrise les cordes de sa guitare comme s’il s’agissait de l’ultime exutoire pour sortir des affres de la dépression D’aucuns diront que Métallica est un groupe pour ados boutonneux à cheveux longs dont la seule ambition est de boire des bières (Valstar quand tu nous tiens !!!) et de faire des jeux de rôles médiévaux fantastiques. Alors à vous les ronds de cuir (Référence culturelle : qui est l’auteur de ce cri du cœur ?), je vous donne rendez vous le 1er avril à Bercy pour 2h45 de déflagration sonore.
PS : je vous encourage à visionner le documentaire Some kind of monster (passé il y a quelques temps sur ARTE)
PS : je vous encourage à visionner le documentaire Some kind of monster (passé il y a quelques temps sur ARTE)
21 octobre 2008
ombre et lumière
...et oui, toujours pas de télé...
Huitième roman d' Eric Fottorino (qui, quand il s'ennuie, est directeur du Monde), Baisers de cinéma avait tout pour me plaire : prix Fémina 2007, une couverture en clair-obscur, et en exergue, une citation de Falaises d'Olivier Adam (que j'aime d'amour, comme chacun sait) :
" Le sens caché de ma vie aura été de fuir un père présent et de chercher sans fin une mère disparue."
Le héros (fictif, cette fois-ci)est un parisien qui a réussi, fils d'un directeur de la photographie qui a passé sa vie à chercher l'éclairage parfait, la lumière sous toutes ses formes, et d'une mère inconnue, qu'il ne cesse d'essayer de retrouver à travers les photos des grandes actrices de la deuxième moitié du XXe siècle.
Hommage au cinéma, recherche de l'origine , amour ambigu et dangereux avec Maylis (oui, Chemato,je sais), ce roman, sous un autre angle, rejoint celui dont j'ai parlé précédemment, en plus fluide, en mieux "éclairé", en plus féminin, pourrais je dire.
Extrait :
" Vers la fin de sa vie, Jean Hector avait poursuivi sa recherche des sources de lumière. Sur des feuilles volantes annotées de sa main, il décrivait ainsi comment il avait constitué un véritable élevage de papillons qu'il enfermait dans une petite serre ajourée aux parois de tissu. Il se procurait par correspondance des espèces aux ailes bleues qui émettaient un éclat semblable à celui des diodes luminescentes(...) Mon père avait appris que les ailes de ces papillons captaient la lumière du soleil grâce à de minuscules miroirs et la restituaient dans l'obscurité, promenant un mystérieux halo bleuté qui trouait le noir. Son dernier carnet de tournage racontait comment, pendant une scène de nuit, il avait lâché deux beaux morphos et un azuré au-dessus des comédiens, leurs visages s'éclairant alors dans l'intemittence des battements d'ailes.
C'est la magie de ce bleu qui l'incita sans doute à basculer du noir et blanc vers la couleur (...)"
Huitième roman d' Eric Fottorino (qui, quand il s'ennuie, est directeur du Monde), Baisers de cinéma avait tout pour me plaire : prix Fémina 2007, une couverture en clair-obscur, et en exergue, une citation de Falaises d'Olivier Adam (que j'aime d'amour, comme chacun sait) :
" Le sens caché de ma vie aura été de fuir un père présent et de chercher sans fin une mère disparue."
Le héros (fictif, cette fois-ci)est un parisien qui a réussi, fils d'un directeur de la photographie qui a passé sa vie à chercher l'éclairage parfait, la lumière sous toutes ses formes, et d'une mère inconnue, qu'il ne cesse d'essayer de retrouver à travers les photos des grandes actrices de la deuxième moitié du XXe siècle.
Hommage au cinéma, recherche de l'origine , amour ambigu et dangereux avec Maylis (oui, Chemato,je sais), ce roman, sous un autre angle, rejoint celui dont j'ai parlé précédemment, en plus fluide, en mieux "éclairé", en plus féminin, pourrais je dire.
Extrait :
" Vers la fin de sa vie, Jean Hector avait poursuivi sa recherche des sources de lumière. Sur des feuilles volantes annotées de sa main, il décrivait ainsi comment il avait constitué un véritable élevage de papillons qu'il enfermait dans une petite serre ajourée aux parois de tissu. Il se procurait par correspondance des espèces aux ailes bleues qui émettaient un éclat semblable à celui des diodes luminescentes(...) Mon père avait appris que les ailes de ces papillons captaient la lumière du soleil grâce à de minuscules miroirs et la restituaient dans l'obscurité, promenant un mystérieux halo bleuté qui trouait le noir. Son dernier carnet de tournage racontait comment, pendant une scène de nuit, il avait lâché deux beaux morphos et un azuré au-dessus des comédiens, leurs visages s'éclairant alors dans l'intemittence des battements d'ailes.
C'est la magie de ce bleu qui l'incita sans doute à basculer du noir et blanc vers la couleur (...)"
19 octobre 2008
roman des origines
Restriction budgétaire oblige, j'ai acheté en Poche différents livres de l'année dernière, dont Un Roman Russe d'Emmanuel Carrière.
Je connaissais déjà ce dernier pour L'Adversaire et la Classe de neige, deux romans dans lesquels on retouve des situations innommables où l'homme sombre dans la folie. Celui-ci se présentait davantage comme un roman autobiographique : un écrivain, Emmanuel, commence un roman, un documentaire et une histoire d'amour simultanément.
Au début, on est un peu déconcerté, on cherche le lien entre ce grand-père russe qui plane comme un fantôme au-dessus des têtes, les visites à Kotelnitch (bled paumé et dramatiquement triste), l'amour avec Sophie, l'écriture fantasmée et réelle... Et puis, finalement, on se rend compte que l'écrivain lui-même cherche le lien, le déclic qui lui permettrait de résoudre l'énigme qui fait de lui ce qu'il est, afin de pouvoir s'en affranchir, que toutes ces facettes de sa propre vie puissent (re)devenir indépendantes les une des autres.
Finalement, j'ai aimé, c'est complexe, psychanalytique, on reconnait la plume d'un écrivain parisien déchiré entre un existentialisme mondain et une envie simple d'être heureux.
Extrait:
"C'était à la piscine, en vacances, au soleil. Je devais avoir cinq ou six ans, j'apprenais à nager. Tu étais assise, toi, à l'extrémité du bassin, sur les marches, les pieds dans l'eau, et tu ne me quittais pas des yeux pendant que je prenais ma leçon. Tu portais un maillot une pièce à rayures noires et blanches. Tu étais jeune, tu étais belle, tu me souriais. Traverser le bassin, cela voulait dire aller vers toi. Tu me regardais approcher, et moi, le menton hors de l'eau, la main du moniteur sous le ventre, je te regardais me regarder et j'étais incroyablement fier et heureux de m'approcher de toi en nageant, d'être regardé par toi en train de nager;
C'est étrange, mais parfois, en écrivant ce livre, j'ai retrouvé cette sensation inoubliable: celle de nager vers toi, de traverser le bassin pour te rejoinde."
Je connaissais déjà ce dernier pour L'Adversaire et la Classe de neige, deux romans dans lesquels on retouve des situations innommables où l'homme sombre dans la folie. Celui-ci se présentait davantage comme un roman autobiographique : un écrivain, Emmanuel, commence un roman, un documentaire et une histoire d'amour simultanément.
Au début, on est un peu déconcerté, on cherche le lien entre ce grand-père russe qui plane comme un fantôme au-dessus des têtes, les visites à Kotelnitch (bled paumé et dramatiquement triste), l'amour avec Sophie, l'écriture fantasmée et réelle... Et puis, finalement, on se rend compte que l'écrivain lui-même cherche le lien, le déclic qui lui permettrait de résoudre l'énigme qui fait de lui ce qu'il est, afin de pouvoir s'en affranchir, que toutes ces facettes de sa propre vie puissent (re)devenir indépendantes les une des autres.
Finalement, j'ai aimé, c'est complexe, psychanalytique, on reconnait la plume d'un écrivain parisien déchiré entre un existentialisme mondain et une envie simple d'être heureux.
Extrait:
"C'était à la piscine, en vacances, au soleil. Je devais avoir cinq ou six ans, j'apprenais à nager. Tu étais assise, toi, à l'extrémité du bassin, sur les marches, les pieds dans l'eau, et tu ne me quittais pas des yeux pendant que je prenais ma leçon. Tu portais un maillot une pièce à rayures noires et blanches. Tu étais jeune, tu étais belle, tu me souriais. Traverser le bassin, cela voulait dire aller vers toi. Tu me regardais approcher, et moi, le menton hors de l'eau, la main du moniteur sous le ventre, je te regardais me regarder et j'étais incroyablement fier et heureux de m'approcher de toi en nageant, d'être regardé par toi en train de nager;
C'est étrange, mais parfois, en écrivant ce livre, j'ai retrouvé cette sensation inoubliable: celle de nager vers toi, de traverser le bassin pour te rejoinde."
18 octobre 2008
FantasticMachine
Ah ! ma note ...56. Mais je suis vieux, moi...
Les petites billes musicales que vous découvrirez là...c'est un peu comme la valse des points qu'on vous attribut professionnellement...sauf que celles là me font vibrer, et un peu déconnecter...beaucoup.
Inventeur, musicien...j'aurais aussi aimé être cela.
Enseignant je suis.
Manifestant du dimanche occasionnellement, pour faire changer les choses de tous.Et boire des coups contestataires avec les potes. Essayer, tout du moins.
Je sais...je suis lourd...
Bon W-E à tous. Je veille sur vous. Mon efficacité est minime, mais je veille...à distance.
ps: je ne suis pas un chiffre...
Dailymotion - FantasticMachineAV, une vidéo de metheman4ever. wow, amazing, fantastic, machine, av
Les petites billes musicales que vous découvrirez là...c'est un peu comme la valse des points qu'on vous attribut professionnellement...sauf que celles là me font vibrer, et un peu déconnecter...beaucoup.
Inventeur, musicien...j'aurais aussi aimé être cela.
Enseignant je suis.
Manifestant du dimanche occasionnellement, pour faire changer les choses de tous.Et boire des coups contestataires avec les potes. Essayer, tout du moins.
Je sais...je suis lourd...
Bon W-E à tous. Je veille sur vous. Mon efficacité est minime, mais je veille...à distance.
ps: je ne suis pas un chiffre...
Dailymotion - FantasticMachineAV, une vidéo de metheman4ever. wow, amazing, fantastic, machine, av
17 octobre 2008
des infos, mais bon, pas super intéressantes
Grille nationale de notation administrative des certifiés
Echelon Note minimale Note maximale Moyenne
1, 2 et 3 30 33,3
4 31 36 34,2
5 33,5 37,5 35,6
6 34,5 38,5 37
7 36 39 38
8 36,5 39,5 38,7
9 37 40 39,1
10 38 40 39,3
11 38,5 40 39,6
Note de service 91-033 du 13/02/91
Notation pédagogique: Une grille commune est censée harmoniser celle-ci. Elle est attribuée par les IPR après inspection et n'évolue donc qu'au rythme de celles-ci, ce qui pose des problèmes dans certaines disciplines. Elle ne peut faire l'objet d'un recours, mais il est possible de solliciter une nouvelle inspection qui la modifiera éventuellement. Voir ci-dessous la grille commune à toute les matières.
Grille nationale de notation pédagogique des certifiés
Echelon Note minimale Note maximale Moyenne
1, 2, 3 et 4 32 47 39,5
5 33 48 40,5
6 34 49 41,5
7 35 50 42,5
8 36 51 43,5
9 38 53 45,5
10 40 55 47,5
11 42 59 49,5
L'avancement de carrière pour les certifiés se fait par changement d'échelon au grand choix (30% des promouvables), au choix (50% des promouvables) ou à l'ancienneté . Sont prises en compte les notes administrative et pédagogique.
Tableau des barres* 2006-2007 :
Echelon Note Grand Choix Note Choix
4 au 5 76.00 né le 18/07/1974
5 au 6 78.50 né le 05/06/1975 75 né le 20/05/1970
6 au 7 81.00 né le 23/01/1973 77.40 né le 02/01/1973
7 au 8 83.00 né le 15/12/1968 79.5 né le 12/04/1950
8 au 9 84.50 né le 18/03/1970 81.30 né le 07/01/1956
9 au 10 87.80 né le 07/08/1966 83.20 né le 03/12/1954
10 au 11 89.00 né le 10/10/1962 84 né le 16/05/19527
* Le Rectorat a décidé de modifier le critère pour départager les éventuels ex aequo : jusqu’alors c’est la date de naissance (au bénéfice des plus âgés) qui était prise en compte. Maintenant, en cas d’égalité de barèmes c’est ensuite 1 - l’ancienneté dans le corps des certifiés qui est retenue (au bénéfice de l’ancienneté la plus grande) puis 2 - l’ancienneté dans l’échelon actuel puis 3 - le mode d’accès à l’échelon actuel puis en dernier lieu 4 - la date de naissance. Le SNES conteste le point 3 qui risque pour certains collègues de faire office de double-peine, la modalité d’accès à l’échelon précédent, conditionnant éventuellement le passage à l’échelon suivant.
PS: BIENTOT, PROMIS, UNE NOUVELLE EROTIQUE!!!!!!!!!!!!!!!!!
Echelon Note minimale Note maximale Moyenne
1, 2 et 3 30 33,3
4 31 36 34,2
5 33,5 37,5 35,6
6 34,5 38,5 37
7 36 39 38
8 36,5 39,5 38,7
9 37 40 39,1
10 38 40 39,3
11 38,5 40 39,6
Note de service 91-033 du 13/02/91
Notation pédagogique: Une grille commune est censée harmoniser celle-ci. Elle est attribuée par les IPR après inspection et n'évolue donc qu'au rythme de celles-ci, ce qui pose des problèmes dans certaines disciplines. Elle ne peut faire l'objet d'un recours, mais il est possible de solliciter une nouvelle inspection qui la modifiera éventuellement. Voir ci-dessous la grille commune à toute les matières.
Grille nationale de notation pédagogique des certifiés
Echelon Note minimale Note maximale Moyenne
1, 2, 3 et 4 32 47 39,5
5 33 48 40,5
6 34 49 41,5
7 35 50 42,5
8 36 51 43,5
9 38 53 45,5
10 40 55 47,5
11 42 59 49,5
L'avancement de carrière pour les certifiés se fait par changement d'échelon au grand choix (30% des promouvables), au choix (50% des promouvables) ou à l'ancienneté . Sont prises en compte les notes administrative et pédagogique.
Tableau des barres* 2006-2007 :
Echelon Note Grand Choix Note Choix
4 au 5 76.00 né le 18/07/1974
5 au 6 78.50 né le 05/06/1975 75 né le 20/05/1970
6 au 7 81.00 né le 23/01/1973 77.40 né le 02/01/1973
7 au 8 83.00 né le 15/12/1968 79.5 né le 12/04/1950
8 au 9 84.50 né le 18/03/1970 81.30 né le 07/01/1956
9 au 10 87.80 né le 07/08/1966 83.20 né le 03/12/1954
10 au 11 89.00 né le 10/10/1962 84 né le 16/05/19527
* Le Rectorat a décidé de modifier le critère pour départager les éventuels ex aequo : jusqu’alors c’est la date de naissance (au bénéfice des plus âgés) qui était prise en compte. Maintenant, en cas d’égalité de barèmes c’est ensuite 1 - l’ancienneté dans le corps des certifiés qui est retenue (au bénéfice de l’ancienneté la plus grande) puis 2 - l’ancienneté dans l’échelon actuel puis 3 - le mode d’accès à l’échelon actuel puis en dernier lieu 4 - la date de naissance. Le SNES conteste le point 3 qui risque pour certains collègues de faire office de double-peine, la modalité d’accès à l’échelon précédent, conditionnant éventuellement le passage à l’échelon suivant.
PS: BIENTOT, PROMIS, UNE NOUVELLE EROTIQUE!!!!!!!!!!!!!!!!!
15 octobre 2008
43
...
C'est la note, écrite froidement sur le trucs des profs.com.
Sans commentaires, présente depuis 2007 (???)."note d'inspection", ils disent.
Alors, que dois je comprendre?
...
Je sais, j'ai des préoccupations futiles, alors je vais aller faire un truc sérieux en attendant que vos lanternes (qui ne sont pas des vessies)m'éclairent.
C'est la note, écrite froidement sur le trucs des profs.com.
Sans commentaires, présente depuis 2007 (???)."note d'inspection", ils disent.
Alors, que dois je comprendre?
...
Je sais, j'ai des préoccupations futiles, alors je vais aller faire un truc sérieux en attendant que vos lanternes (qui ne sont pas des vessies)m'éclairent.
The winnner takes it all...
Non, ce n'est pas un nouveau post sur Abba mais une petite démonstration pédagogique à destination de nos amis les profs de français, de SVT, de Physique, documentalistes, d'E.P.S...
En effet, dans 3 semaines aura lieu une élection decisive de l'autre côté de l'Atlantique.
Le président américain n'est pas élu directement par les citoyens mais par des grands électeurs: ce système inventé à la naissance des Etats-Unis permet ainsi d'éviter que le peuple forcément fou et ignare ne se laisse emporter par les pires démagogues.
Chaque Etat désigne un nombre de grands électeurs approximativement proportionnel à sa population: ainsi la Californie désigne 55 grands électeurs, le Dakota du Nord 3. Le principe est le suivant : le candidat qui a la majorité des voix dans un Etat remporte tous les grands électeurs de cet Etat (The winner takes it all).
Au bout du compte , le candidat qui obtient 270 grands électeurs est élu. Certains Etats très peuplés sont décisifs.(Californie, texas, New York). D'autres traditionnellement démocrate ou républicains peuvent basculer (les swinging states...)
L'élu peut même avoir obtenu moins de voix que son adversaire comme ce fut le cas malheureusement de W Bush en 2000.
Les derniers sondages sont à lire sur http://www.lemonde.fr/
précisément http://www.lemonde.fr/web/vi/0,47-0@2-829254,54-1100729,0.html
Résultats le 5 novembre.
En effet, dans 3 semaines aura lieu une élection decisive de l'autre côté de l'Atlantique.
Le président américain n'est pas élu directement par les citoyens mais par des grands électeurs: ce système inventé à la naissance des Etats-Unis permet ainsi d'éviter que le peuple forcément fou et ignare ne se laisse emporter par les pires démagogues.
Chaque Etat désigne un nombre de grands électeurs approximativement proportionnel à sa population: ainsi la Californie désigne 55 grands électeurs, le Dakota du Nord 3. Le principe est le suivant : le candidat qui a la majorité des voix dans un Etat remporte tous les grands électeurs de cet Etat (The winner takes it all).
Au bout du compte , le candidat qui obtient 270 grands électeurs est élu. Certains Etats très peuplés sont décisifs.(Californie, texas, New York). D'autres traditionnellement démocrate ou républicains peuvent basculer (les swinging states...)
L'élu peut même avoir obtenu moins de voix que son adversaire comme ce fut le cas malheureusement de W Bush en 2000.
Les derniers sondages sont à lire sur http://www.lemonde.fr/
précisément http://www.lemonde.fr/web/vi/0,47-0@2-829254,54-1100729,0.html
Résultats le 5 novembre.
12 octobre 2008
Qu'est-ce que l'argent ?
Ca paraît une question simple mais en ces temps troublés, voici qu'une vidéo intelligente et didactique reprécise les choses. Investissez 52 minutes de votre temps, vous ne le regretterez pas.
L'Argent Dette de Paul Grignon (Money as Debt FR) from Bankster on Vimeo.
L'Argent Dette de Paul Grignon (Money as Debt FR) from Bankster on Vimeo.
Bonsoir à tous,
Vous êtes invités à un joyeux pique nique parisien, le dimanche 19 octobre à 13h, devant le magasin Afflelou, au 44 avenue des gobelins, près de la banderole du Languedoc.
Chacun apportera de quoi se sustenter afin de pouvoir s'agiter pour:
Dénoncer la gabegie actuelle.
Réclamer un budget permettant la création de postes pour de jeunes citoyens hautement qualifiés, le maintien du pouvoir d'achat de fonctionnaires qui n'ont aucune raison d'être les vaches à lait servant à éponger les dettes que d'autres ne veulent pas assumer.
Il n'y a aucune raison de taire nos revendications sous prétexte que d'autres ont cassé leurs jouets.
Il n'y a pas d'argent pour financer le RSA, mais on trouve des milliards pour éponger les dettes d'une faillite virtuelle...
Il y a bien du pognon et en plus c'est le notre, on peut bien décider d'en faire l'usage qui nous profite, plutôt que de laisser dilapider par des gens qui n'ont cesse de s'enrichir, en nous appauvrissant.
Vous verrez, la crise ça peut avoir du bon, ça oblige à des régulations, autant qu'elles ne se fassent pas sur notre dos.
Allez, venez vous lâcher, de toute façon il n'y a rien d'autre à faire. Vous verrez, ça peut faire un bien fou de se retrouver pour gueuler un bon coup.
Je sais, je ne frappe pas ici, à la meilleure porte de revendications...
Je sais, c'est un Dimanche...y a plein de choses importantes à faire le Dimanche...
Je m'adresse aux irréductibles, en essayant d'en convaincre d'autres de bouger le popotin...
Autant en profiter,tant qu'on peut se payer un billet de train, ou un peu d'essence pour monter sur Paris...ne pas jouer à l' homme invisible...afin qu' il y ai d'autres Dimanches importants...
Au plaisir.
Mes amis du Sud et d'ailleurs prennent le TGV pour monter (c' est un dimanche qui leur coûte cher...ils ne croient pas aux fées...ils croient simplement...)
Chacun apportera de quoi se sustenter afin de pouvoir s'agiter pour:
Dénoncer la gabegie actuelle.
Réclamer un budget permettant la création de postes pour de jeunes citoyens hautement qualifiés, le maintien du pouvoir d'achat de fonctionnaires qui n'ont aucune raison d'être les vaches à lait servant à éponger les dettes que d'autres ne veulent pas assumer.
Il n'y a aucune raison de taire nos revendications sous prétexte que d'autres ont cassé leurs jouets.
Il n'y a pas d'argent pour financer le RSA, mais on trouve des milliards pour éponger les dettes d'une faillite virtuelle...
Il y a bien du pognon et en plus c'est le notre, on peut bien décider d'en faire l'usage qui nous profite, plutôt que de laisser dilapider par des gens qui n'ont cesse de s'enrichir, en nous appauvrissant.
Vous verrez, la crise ça peut avoir du bon, ça oblige à des régulations, autant qu'elles ne se fassent pas sur notre dos.
Allez, venez vous lâcher, de toute façon il n'y a rien d'autre à faire. Vous verrez, ça peut faire un bien fou de se retrouver pour gueuler un bon coup.
Je sais, je ne frappe pas ici, à la meilleure porte de revendications...
Je sais, c'est un Dimanche...y a plein de choses importantes à faire le Dimanche...
Je m'adresse aux irréductibles, en essayant d'en convaincre d'autres de bouger le popotin...
Autant en profiter,tant qu'on peut se payer un billet de train, ou un peu d'essence pour monter sur Paris...ne pas jouer à l' homme invisible...afin qu' il y ai d'autres Dimanches importants...
Au plaisir.
Mes amis du Sud et d'ailleurs prennent le TGV pour monter (c' est un dimanche qui leur coûte cher...ils ne croient pas aux fées...ils croient simplement...)
10 octobre 2008
08 octobre 2008
Retour en position d'élève...
Hier et aujourd'hui j'ai été re-confrontée à une situation qui s'est éloignée de ma vie quotidienne: être élève.
Cela m'a permis de me rendre bien compte que de rester assis toute une journée, concentrer sur ce qui est expliquer, tenter de comprendre certaines consignes et se motiver à résoudre un problème qui au départ ne nous aurait même pas effleuré ne sont pas évident.
Et le pire dans tout cela, pour redevenir un "vrai élève", j'ai du faire de la géographie!
Mais comment font-ils pour nous supporter jour après jour? Alors que moi ça finira enfin demain soir... et j'ai hâte même si cela reste enrichissant...
07 octobre 2008
vague de mots
Comme je n'ai toujours pas la télévision, et que les mots des autres adoucissent l'existence, je partage encore avec vous une lecture. "Les déferlantes" de Claudie Gallay...le titre est bien choisi pour résumer les quelques 525 pages de ce roman venteux.
La Hague, en Normandie. Le pays vit au rythme de la mer et des tempêtes. l'héroïne, jamais nommée, est payée pour observer les oiseaux, tandis que les personnages qui l'entourent tentent d'oublier leurs secrets et leurs blessures anciennes, se retenant les uns aux autres dans un bateau qui tangue. C'est une histoire de renaissance aussi.
Pas vraiment d'action, aucune scène de sexe (!!), et pourtant, j'ai lu cette histoire d'homme et de terre en trois jours, happée par la vague, par la déferlante, sans doute.
Moins bien écrit, moins poétique que le "Coeur Cousu", ce livre mérite tout de même une petite citation sur le collège de france.
Extrait:
" Le soir, j'ai passé ce qui me restait de vert Hopper sur la porte de ma chambre. J'ai laissé la fenêtre ouverte pour faire partir l'odeur.
Je suis sortie.
Il n'y avait personne sur le chemin. Juste un oiseau sentinelle qui observait la lande.
Je me suis assise jusqu'à ce que l'espace m'avale. Fasse de moi un être minéral en contemplation devant le monde."
La Hague, en Normandie. Le pays vit au rythme de la mer et des tempêtes. l'héroïne, jamais nommée, est payée pour observer les oiseaux, tandis que les personnages qui l'entourent tentent d'oublier leurs secrets et leurs blessures anciennes, se retenant les uns aux autres dans un bateau qui tangue. C'est une histoire de renaissance aussi.
Pas vraiment d'action, aucune scène de sexe (!!), et pourtant, j'ai lu cette histoire d'homme et de terre en trois jours, happée par la vague, par la déferlante, sans doute.
Moins bien écrit, moins poétique que le "Coeur Cousu", ce livre mérite tout de même une petite citation sur le collège de france.
Extrait:
" Le soir, j'ai passé ce qui me restait de vert Hopper sur la porte de ma chambre. J'ai laissé la fenêtre ouverte pour faire partir l'odeur.
Je suis sortie.
Il n'y avait personne sur le chemin. Juste un oiseau sentinelle qui observait la lande.
Je me suis assise jusqu'à ce que l'espace m'avale. Fasse de moi un être minéral en contemplation devant le monde."
06 octobre 2008
Entre les murs (suite)
Je n'ai toujours pas vu le film mais j'imagine que l'on pourrait y trouver de savoureux dialogues avec certains collègues tels que :"Ravensbrück, ah oui le château" .
Signé :Gérard langue de pute .
Signé :Gérard langue de pute .
05 octobre 2008
A l'insu de mon plein gré ...
Ce petit post par respect pour une promesse faite.
Vendredi, Keski a exigé de moi un démenti formel concernant un épisode peu flatteur pour lui que j'avais, entre les lignes, relaté la veille sur ce blog.J'ai donc été priée d'invoquer un dérangement temporaire de mon propre cerveau et d'effacer ainsi l'offense qui lui avait été faite.
Pour m'assurer une bonne compréhension de tous, je contextualise : la scène s'est déroulée en salle des profs et Keski tenait en main un dvd qu'il me faisait adroitement miroiter...Sur ce dvd était écrit "six feet under, saison 5, dvd 4- 3 épisodes" . J'en devenais propriétaire pour le week-end si et seulement si ...
Dès lors, vous l'aurez compris, ma liberté de parole était fortement mise à mal . Je n'ai pas eu la force de lutter contre un tel rapport de force. J'ai cédé .
Je démens donc mes propos "outrageants" sur l'épisode "Keski emprunte des annales Brevet". Et n'en pense pas moins ...
Bon dimanche à tous !
Vendredi, Keski a exigé de moi un démenti formel concernant un épisode peu flatteur pour lui que j'avais, entre les lignes, relaté la veille sur ce blog.J'ai donc été priée d'invoquer un dérangement temporaire de mon propre cerveau et d'effacer ainsi l'offense qui lui avait été faite.
Pour m'assurer une bonne compréhension de tous, je contextualise : la scène s'est déroulée en salle des profs et Keski tenait en main un dvd qu'il me faisait adroitement miroiter...Sur ce dvd était écrit "six feet under, saison 5, dvd 4- 3 épisodes" . J'en devenais propriétaire pour le week-end si et seulement si ...
Dès lors, vous l'aurez compris, ma liberté de parole était fortement mise à mal . Je n'ai pas eu la force de lutter contre un tel rapport de force. J'ai cédé .
Je démens donc mes propos "outrageants" sur l'épisode "Keski emprunte des annales Brevet". Et n'en pense pas moins ...
Bon dimanche à tous !
04 octobre 2008
Entre les murs (encore!)
Je reviens sur le sujet après avoir vu le film. Merci la fille Nut de m'avoir poussé à aller le voir , tant il m'a séduit et bouleversé.
Tellement de choses vécues. Tellement de scènes qui faisaient écho à notre quotidien.
Tellement différent du livre: de nombreuses scènes sont vraiment "lissées", même le personnage principal en sort beaucoup plus humain, moins mordant, moins arrogant, plus dans le doute et dans une vraie bienveillance à l'égard des élèves et des collègues. Le nombre de dialogues qui ont été réécrits dans un sens moins conflictuel...
Ce que j'ai aimé dans ce film, c'est l'image positive qu'il va donner de nous à de nombreux spectateurs, d'un métier complexe, où l'on est souvent sur le fil, où l'on débat beaucoup (de la discipline, de la sanction, des notes...). Plus riche que l'image habituelle "vous vous faites insulter/ vous êtes toujours en vacances".
Merci à Laurent Cantet.
Tellement de choses vécues. Tellement de scènes qui faisaient écho à notre quotidien.
Tellement différent du livre: de nombreuses scènes sont vraiment "lissées", même le personnage principal en sort beaucoup plus humain, moins mordant, moins arrogant, plus dans le doute et dans une vraie bienveillance à l'égard des élèves et des collègues. Le nombre de dialogues qui ont été réécrits dans un sens moins conflictuel...
Ce que j'ai aimé dans ce film, c'est l'image positive qu'il va donner de nous à de nombreux spectateurs, d'un métier complexe, où l'on est souvent sur le fil, où l'on débat beaucoup (de la discipline, de la sanction, des notes...). Plus riche que l'image habituelle "vous vous faites insulter/ vous êtes toujours en vacances".
Merci à Laurent Cantet.
03 octobre 2008
Pub et blog
DEMANDE DE VOYANCE GRATUITE
Chère Tara, je suis en situation vraiment difficile (au niveau financier, personnel ou autres ) et ce manque de chance est vraiment un problème pour moi. J'ai besoin de votre aide urgente et gratuite.
C'est pourquoi, je vous demande de réaliser au plus vite pour moi une étude approfondie gratuite de mon cas afin de favoriser ma chance.
Il est bien entendu que votre aide est entièrement gratuite et que vous allez me l'envoyer au plus tard sous 48 heures.
Cette pub apparait avec le blog en plus des moultes poèmes pornos . J'ai beaucoup aimé le style et l'idée de réaliser une étude approfondie de cas.
Chère Tara, je suis en situation vraiment difficile (au niveau financier, personnel ou autres ) et ce manque de chance est vraiment un problème pour moi. J'ai besoin de votre aide urgente et gratuite.
C'est pourquoi, je vous demande de réaliser au plus vite pour moi une étude approfondie gratuite de mon cas afin de favoriser ma chance.
Il est bien entendu que votre aide est entièrement gratuite et que vous allez me l'envoyer au plus tard sous 48 heures.
Cette pub apparait avec le blog en plus des moultes poèmes pornos . J'ai beaucoup aimé le style et l'idée de réaliser une étude approfondie de cas.
Enfin...
Je n'ai qu'une chose à dire: enfin!!
Enfin je peux me connecter au monde extérieur depuis mon nouvel appart'!
Enfin je vais pouvoir suivre les histoires, aventures et éventuels coup-bas blogesques!
Enfin je vais pouvoir suivre les histoires, aventures et éventuels coup-bas blogesques!
Et surtout, ma télé a récupéré pleins de chaînes!!!! Dire que j'en avais même pas une depuis notre rentrée. Je vais pouvoir continuer à ne pas regarder la Star Ac', ne pas attendre la rediffusion de Derrick et Un cas pour deux, ne pas avoir envi de voir Plus belle la vie (Désolée Nutella...), ne pas regarder le journal de TF1 et la grande messe de telefoot le dimanche matin... Maintenant je suis libre de ne pas regarder tout ça alors que cela fait un mois que je suis obligée de ne pas les voir.
Enfin bref... Juste un tout petit post pour dire que je suis de retour sur le net et que surtout je remercie orange pour leur efficacité et rapidité pour la mise en place de leur offre (mon téléphone par ADSL ne marche pas encore donc je vais éviter de leur cracher dessus, on ne sais jamais avec la poisse...)
Je ferai un tour plus tard pour voir si il y a des vrais news sur ce blog....
PS pour Chémato : une ptite pensée pour toi qui n'a pas pu venir dans ce doux collège de france... Jour où je me suis décidée à amener quelques douceurs tunisiennes...
02 octobre 2008
l'Etat nous vampirise ou les tribulations d'un(e) prof de français
Vu et lu ce jour ,dans un cahier de texte de 6e à la page des séances de Français (et non de SVT)
"Serrer le kiki. Exemple : l'Etat serre le kiki des gogos = l'Etat moderne étrangle les contribuables"
Bientôt Jp Pernaut enseignant de lettres?
Autres idées de sujets , transmettez au blog qui fera suivre à JM Silvestre et notre ministre de tutelle .
"Serrer le kiki. Exemple : l'Etat serre le kiki des gogos = l'Etat moderne étrangle les contribuables"
Bientôt Jp Pernaut enseignant de lettres?
Autres idées de sujets , transmettez au blog qui fera suivre à JM Silvestre et notre ministre de tutelle .
01 octobre 2008
keskonriaussiici
...
Pas le temps de faire des articles extraordinaires, alors je vous fais partager deux images fortes de mes vacances d'été...
bises
ps : à suivre, la tête des jumeaux sur la photo de classe...
rps: ceci n'est en aucun cas une vengeance de cette photo publiée il y a des siècles où on me voyait à moitié nue...
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