Ne jamais croire que c'est perdu, ne jamais croire que c'est gagné...
29 novembre 2007
28 novembre 2007
coup de gueule
La conclusion était prévisible : exclusion définitive.
Mais son dossier a révélé énormément de failles, aucun suivi de cette petite, les institutions se renvoient la balle, et elle finit dehors, exclue encore une fois, en attente d'une solution, encore une fois.
Quelle image a-t-elle des adultes? Quelle confiance peut-elle encore avoir en nous?
Et quand on voit deux membres de la direction du collège rapporter tout le souci qu'ils ont de cette situation
alors que l'un n'était pas là, l'autre était tétanisé lors du 1er incident.
L'élève avait annoncé à sa façon son malaise, son directeur en a ricané... le lendemain c'est notre Sécotine bien-aimée qui en faisait les frais!
Comment être à un tel poste de direction et travailler seul, sans l'équipe pédagogique (le prof principal de B. a du faire son enquête pour savoir ce qu'il se passait!) et surtout se foutre autant du devenir de ses élèves???
A la fin du 1er incident qui fut traumatisant pour certains d'entre nous, le directeur en question s'est confié : "Elle a pété les plombs, du coup j'ai même pas mangé!!"
27 novembre 2007
De qui ? (facile...champagne !)
Parlant de misère, d'ennui, de prison
Ne sont que des leurres, chassant nos démons
Baillonnant la peur, pendant un moment
Chanter c'est pas vivre, mais c'est l'espérer
Chanter c'est survivre, quand on est vidé
Vidé de ses illusions, tout nu et tout con
Et saurait déboussoler, casser, piétiner
Je ne suis ni meilleurs, ni plus mauvais que vous
Contre vents et marrées, envers et contre tout
J'ai chevillé, dans le coeur, un rêve de bonheur
Un jour nouveau qui se lève chasse mon chagrin
Un geste, un regard, un mot, un ami qui vient
Deux arbres dressés dans le ciel, la lune et la nuit
Deux amoureux dans un champ, font comme leurs parents,
Une fille qui revient d'un voyage très loin
Tous ces mots terribles qui font des chansons
La la la la la la la la la la la la la lalalalalalalalalala
Une fille qui revient d'un voyage très loin
... ... ...
lepaysdesémotifs
Et tant pis si les histoiriens ricanent (c'est parce qu'ils sont gênés dès que l'on parle sentiments)
Je voulais souligner la très grande solidarité pédagogique et amicale qui règne
Dans (presque) l'ensemble de ce collège de France...
Moi, ça m'a fait chaud à mon petit coeur de littéraire (qui lit Voici)
Voilà.
...
24 novembre 2007
22 novembre 2007
l'expérience interdite
21 novembre 2007
Petite réflexion/citation pour lepaysquialeboules
pour, aller contre, pouvoir"
(Interprétation starwarsienne nécessaire)
Le Journal de Chemato
A vous de juger:
En l'achetant tous les jours, Chemato contribue à la prospérité de tels slogans...
18 novembre 2007
IGNOBLES
Ce qu'il y a de bien, dans les manifs de droite, c'est qu'elles sont rares...Normalement, c'est pas leur culture, descendre dans la rue pour exprimer ce qu'on a sur le coeur, c'est salissant.
A chaque fois d'ailleurs, ça dérape. En 1984, on défendait l'école soi disant libre! En 1999, contre le P.A.C.S, on promettait le "bûcher aux pédés".
En fait, on est content de ne pas en avoir plus, parce ce qu'on y entend est à vomir. Je passais par là, par hasard. On pouvait y lire:
- cheminots, au boulot
- grévistes égoïstes
- liberté, égalité, privilégiés.
Dans le cortège, beaucoup de dames bien peignées et d'hommes a l'allure martiale, pas très loin de la manif Euromillions.
Ils n'étaient que 8000, selon libé...c'est déjà beaucoup.
J'ai quand même failli me faire agresser parce que je dialoguais au téléphone avec un ami en me moquant gentiment d'un manifestant qui avait un cigare. Deux retraités m'ont interpellé de manière très agressive.
En tout cas, si j'avais encore un doute sur l'utilité d'une grève et d'une manif mardi, là, plus de doute : cette droite là nous a déclaré la guerre!
17 novembre 2007
LE site inutile
De vraies couvertures de la série Martine et des titres entierement modifiables sur ce site , c'est vraiement drôle, et tellement inutile.
Ca faisait longtemps depuis ma dernière contribution sur ce blog. Une petite remise en jambe s'impose...
16 novembre 2007
Histoire d'un piège
Mes qualités sont donc si grandes que me voilà l’homme indispensable pour la Corse. Que répondre, sauf à courir le risque bien réel d’une disgrâce, d’une mise hors cadre ou d’une stagnation. Aucun argument légitimement avancé face à cette “mission de grande confiance, témoignage éclatant etc”. Et en plus, c’est sans doute vrai.
Si j’ai plus tard, l’occasion de régler ces comptes, il ne faudra pas oublier le faire…
Il faut donc y aller et gérer dans la hâte tous les problèmes personnels, si nombreux, que nous pose cette nomination, vis à vis des familles, de nos projets en Lozère, de nos moyens qui vont être bien ajustés. Mais ce n’est pas - et de loin - l’essentiel.
Le seul problème sérieux est que j’ai clairement conscience de partir vers une mission impossible, faite de contradictions éclatantes entre le discours public du gouvernement, les négociations plus ou moins secrètes, les intentions réelles des uns et des autres…
Officiellement, ma mission est triple: rétablir l’autorité de l’Etat, contribuer au dialogue républicain, faire avancer les dossiers économiques, sociaux et culturels.
Mais quels sont les moyens? Un préfet ne saurait véritablement actionner les machines judiciaire et policière - pour la police ,un peu sans doute, mais ce n’est pas ma tasse de thé - Cela dit, je vais m’y efforcer. Le problème est qu’il faut aussi veiller à ne pas contrarier le processus “politique” en cours avec la trêve acquise pour trois mois, attendue pour six mois supplémentaires.
En un mot, c’est le grand écart… avec les redoutables conséquences que l’on devine.
Pour les dossiers, j’ai l’impression que la volonté politique est bien hésitante. On peut le comprendre à voir les sommes déversées sur la Corse. Comment répondre à beaucoup à Paris de dire que cela suffit…Mais alors comment répondre aux attentes si impatientes de socio-professionnels de tout poil abreuvés, semble-t-il, ces derniers mois en particulier, de bonnes paroles et de semi-promesses.
En définitive, c’est cela qui me soucie le plus car je crains beaucoup cet exercice de faux-semblant.
Voilà bien vite résumées mes préoccupations du moment. je ne veux pas les exprimer trop publiquement afin de ne pas démoraliser Dominique, qui fait admirablement contre mauvaise fortune bon coeur.
Et j’ai toujours préféré “faire envie que pitié” et je tiens à partir de Versailles - ce poste somptueux que je n’ai jamais aimé - en faisant valoir l’évidente marque de confiance du président de la République et du gouvernement.
Nous partons donc.
Je m’accroche à l’idée que cela peut être pour 18 mois seulement, moyenne approximative de mes prédécesseurs. Et je vais m’efforcer de tenir chronique régulière de cette aventure, mission impossible pour la première fois de ma vie professionnelle”.
Ecrit par le préfet des Yvelines, Claude Erignac, juste après avoir appris sa nomination comme préfet de la région Corse. Février 1996.
15 novembre 2007
!!!!!wcepoijgzjkdnvj!!!
Voilà comment les efforts sont récompensés.
Diane chasseresse
14 novembre 2007
12 novembre 2007
Histoire à papa
"GI's, vous êtes-vous déjà imaginé que sur 100 Américains, 70 jouissent de la vie civile chez eux et que 22 soldats sont entraînés et stationnés chez eux, que 8 seulement font leur devoir outre-mer, qu'il n'y a que 4 hommes sur 100 qui sont engagés dans les combats actuels. Quelque 60 divisions ont rejoint le front; troupes de combat et services annexes, représentant plus de 2.155.000 officiers et hommes qui accompagnent ces divisions à l'étranger. Ajoutons le 1.000.000 d'hommes des forces aériennes et cela donne un total de 3.155.000 Américains sur les fronts de bataille du monde. (Stars and Stripes, 20 septembre 1944, page 4). Et seulement la moitié d'entre eux font leur devoir pénible dans les combats actuels ! Presque chaque jour, vous pouvez, vous les combattants de première ligne, lire qu'il y en a qui quittent le front pour un travail plus sûr qui les prépare à la période d'après-guerre. Pour vous, leur conseil est le suivant : Laisser les soldats dans l'armée après la guerre jusqu'à ce que nos bonnes places nous soient assurées. Ces malins à la maison espèrent que chaque soldat fera son devoir !"
Spéciale Keski
11 novembre 2007
10 novembre 2007
Conscience professionnelle
08 novembre 2007
Joyeux 5 000 !
Pantouflage? Non, rester fashion, tout simplement.
06 novembre 2007
Les trois couleurs de l'empire
05 novembre 2007
Sur l'eau Mercredi...beau temps, pluie de feuilles d'automne seulement
Là, pas trop de temps... Je vous donne le complément d'infos ce soir.
04 novembre 2007
T'as beau dire, les gonzesses, c'est pas comme les mecs !...
Matthias Müller, Home Stories, 1991. Allemagne, 6 min.
Un court-métrage qui relève les stéréotypes sexuels véhiculés par le cinéma classique hollywoodien, à travers des extraits de mélodrames des années 50.
Nature, chasse et péchés
Bonne fin de vacances