29 novembre 2006


Voici L'Origine du monde de Courbet.

Puisqu'il paraît que le sexe fait remonter l'audimat, je vous propose ce tableau, exposé à Orsay, afin d'illustrer le poste de Keski et aussi pour faire taire cette vilaine rumeur qui sous entend que dans l'éducation Nationnale, on serait plus coincé qu'il n'y paraît..
Les mauvaise langues (si je puis dire), ne pourront plus rien dire.

Ce tableau est exposé, alors qu'il a toujours été caché...Certains diront qu'il n'a rien à faire dans un musée ou sur un blog. Même le docteur Lacan, fin analyste qui l'a possédé un temps, l'avait caché derrière un autre tableau...
A vous de juger.
Effacer.
La prochaine fois, si on me cherche, j'envoie la "Femme qui pisse" de Delacroix.
bien à vous
le pays des reves

27 novembre 2006

moi aussi je vais au cinéma...



c'était bô, super bô.

U est une petite licorne, ange gardien de la princese Mona, qui rapetisse au fur et à mesure que Mona n'a plus besoin d'elle.

Un jour Mona tombe amoureuse et U disparaît à jamais...

SALOPE !!!

26 novembre 2006

S'occuper en grande et petite couronne...


Parfois la banlieue, c'est pas rose. Le dimanche s'étire difficilement entre l'émission de Michel Drucker et le grand loto à la salle communale de Moissy Cramayel.

Alors, pour vous sortir et découvrir de nouveaux horizons, je vous conseille ce film bouleversant. Il parle, comme son titre l'indique, de notre incapacité à communiquer: entre peuples , entre voisins, à l'intérieur des familles. C'est un voyage à travers la planète qui nous montre cependant l'unicité de l'être humain dans sa condition.
Je suis sûr que Télérama n'aurait pas fait meilleur critique.
Chemato, le parigot provocateur
P.S: on peut même voir ce film au Carré Sénart. Dingue!

25 novembre 2006

Orgasme global (faites l'amour mondial, pas la guerre)

Pour agir contre la violence dans le monde, des militants pacifistes ont décidé d'organiser un «orgasme mondial synchronisé» le jour du solstice d'hiver, vendredi 22 décembre.
Pour les concepteurs du projet, Donna Sheehan, 76 ans, et Paul Reffell, 55 ans, la violence est en partie due à l'insatisfaction sexuelle des hommes. Ils invitent donc les hommes et les femmes de tous les pays, «particulièrement ceux où il existe des armes de destruction massive» -c'est le cas chez nous-, à avoir des relations sexuelles, accompagnées, avant et après, de pensées pacifistes.
A grande échelle, ceci pourrait modifier «le champ d'énergie de la Terre» et «réduire les dangereux niveaux actuels de violence et d'agression», notamment en Irak.

Pour en savoir plus, cliquez ici.

18 novembre 2006

Le communalisme est à la commune...

...ce que le nationalisme est à la nation.

C'est pas pour frimer mais on m'avait déjà dit que la maison en face de la mienne avait été habitée par un grand du XXe siècle. Voilà qu'un concitoyen prestigieux et accessoirement voisin vient me le confirmer.
Cliquez sur le document pour le LIRE...


PS: La fromagerie mentionnée est intéressante mais la poissonnerie propose des bulots cuits décevants.

16 novembre 2006

LE RÊVE!!!

Avec 35 heures, on va pouvoir:

- reçevoir les parents dans des endroits aux lumières tamisées afin de favoriser les confidences,
- suivre le travail des élèves,
- jouer au jungle speed,
- faire des réunions sur la note de vie scolaire,
- faire des réunions pour le foyer,
- faire des réunions sur la santé,
- faire des conseils de classe,
- faire l'amour dans la salle HFI,
- faire du soutien personnalisés (ATP, GAIN),
- corriger les copies,
- préparer les cours avec soin,
- faire des soirées pour créer des liens et organiser des voyages moins chers,
- manger dans une cantine à température tempérée,
- organiser des sorties,
- faire des conseils éducatifs,
- voir les élèves qui veulent nous parler (anciens et nouveaux),
- discuter des cas, trouver des solutions,
- fumer des cigarettes en refaisant le monde,
- rêver à des jours meilleurs.....

enfin, c'est bizarre, tout cela me rappelle quelque chose?

15 novembre 2006

Condamné!


C'est le ministre qui l'a dit: demain, les décrets d'application interdisant de fumer dans les lieux publics seront publiés.
Ce qui signifie la prohibition complète à partir du 1er février 2007 et, toujours selon M. X. Bertrand, la disparition des pièces fumeurs des administrations publiques.
Courage Keski, cela ne pourra que te rendre meilleur au Badminton.

13 novembre 2006

Spécial parents à zouzous


Je ne sais pas si vous connaissez cette chanson de Bénabar mais elle m'a fait penser à vous ce matin quand je l'ai écoutée:

Voilà plus d'une heure que j'te tiens dans mes bras, voilà quelques jours que je suis tout à toi. Il es très tard et tu dors pas, je t'ai fait une berceuse, la voilà.

Demain le jour sera là et les oiseaux chanteront leur joie, tes paupières d'or s'ouvriront sur le soleil et sur sa chanson, ferme les yeux, c'est merveilleux et dans tes rêves toutes les fées viendront te réveiller, fais dodo... Pourquoi tu dors pas?

Demain il faut que je me lève tôt, j'ai un rendez-vous hyper-important, si t'aimes ton père, si tu l'aimes vraiment, sois fatigué et dors maintenant. J'ai sauté sur l'occas', t'avalais ton biberon pour un micro-sommeil de dix secondes environ, c'était confort. J'ai bien récupéré, maintenant tu dors, t'arrêtes de nous faire... fais dodo.

Demain le jour sera là t les oiseuax chanteront leur joie, tes paupières d'or s'ouvriront sur le soleil et sa chanson, ferme les yeux, c'est merveilleux et dans tes rêves toutes les fées... Dors dors dors! Bordel, pourquoi tu dors pas? Dors dors dors! Laisse dormir ton père!

Ce que tu regardes en riant, que tu prends pour des parachutes, ce sont mes paupières mon enfant, c'est dur d'être un adulte. Allez on joue franc jeu, on met carte sur table, si tu t'endors je t'achète un portable, un troupeau de poneys, un baton de dynamite, j'ajoute un kangourou si tu t'endors tout de suite.

Tes paupières sont lourdes, tu es en mon pouvoir une sentation de chaleur engourdit ton corps, tu es bien, tu n'entends plus que ma voix, je compte jusqu'à 3, et tu vas t'endormir...

Pourquoi tu veux pas dormir, pourquoi tu dors pas? Je te donnerais bien un somnifère, mais y'ena plus demande à ta mère, t'es insomniaque ou quoi? Puisque tu me laisses pas le choix, voici le temps des menaces, si tu dors pas j'te place! Dors dors dors! Mais on dirait que ça marche. Tu fermes les yeux, tu es si sage, c'est merveilleux, tu dors comme un ange, tu as de la chance moi aussi j'ai sommeil, mais c'est le matin, faut qu'je m'habille. Je me suis énervé mon amour, je le regrette, pour me faire pardonner j'vais jouer un peu de trompette!!

12 novembre 2006

il est 7 sept heures, séco s'éveille...



Comme tous les jours où je n'ai aucune raison professionnelle de m'extirper du lit à l'aube, me voilà levée, prête à lire Tchoupi est trop gourmand (je vous le recommande), prête à regarder debout les zouzous scotchée au canap' les yeux dans le vide élaborant mille plans pour exterminer tous les zouzous du monde. J'adooore les enfants.
Dites, les jeunes mamans, ils sont cruels vous savez, on vous l'avait pas dit ? Moi non plus je n'en savais rien au début, ces choses-là ça se dit pas.
Bonne nuit à tous ceux qui viennent de se coucher, bonjour à tous ceux qui se lève, désolée pour tous ceux qui sont déjà debout, bienvenue à ceux qui viennent de naître...

10 novembre 2006

Mentha Piperata

Un vrai moment de bonheur, furtif et savoureux !
Les sinus frontaux de KL ont fait la connaissance de l'enivrante Mentha Pipérata.
Ses pleurs furent une pure émotion.Il arrête l'isobutylnitrate et court à la pharmacie
acheter l'huile essentielle miracle.
Ah! j'oubliais,rien à voir avec Mentha,je vous recommande "Peau de cochon"un film de Philippe Katerine.

09 novembre 2006

Qui a bien pu écrire ça ?

Plus je me pose de questions
et moins je trouve de solutions
qui sommes- nous où allons -nous
pendant ce temps je vois passer
le temps qui passe sans s'arrêter

Alors je décide de vivre
pour rattraper le temps perdu
bien que j'ai lu dans de gros livres
que le temps perdu ne se rattrape plus

A force de courir de monter
de redescendre d'escalader
dans l'escalier j'me suis cassée
la gueule et j'me suis estropiée
dans mon lit l'temps s'est arrêté
j'ai tout l'temps de philosopher

Que le temps passe
qu'il passe qu'il passe
puisque ça lui chante de filer
j'ai décidé d'être immortelle
bien qu'a ce qu'on dit
ça se fasse plus aujourd'hui

Plus je me pose de questions
et moins je trouve de solutions.

07 novembre 2006

Bienvenue

Patator s'appellera en fait Patata
Félicitations à Maman et à Papa .
et à tous tes papas et mamans adoptifs qui y sont quand même pour quelque chose!

06 novembre 2006

03 novembre 2006

Ouaf ! Ouaf !


Merci Mamadou.
PS: Un cadeau (envoûtement gratuit) à celui ou celle qui comprend la dernière phrase...

30 octobre 2006

Allez voir...

ce petit film.

"il ne tyrannise point, il gêne..."

QUELLE ESPECE DE DESPOTISME LES NATIONS DEMOCRATIQUES ONT A CRAINDRE...

Lorsque je songe aux petites passions des hommes de nos jours, à la mollesse de leurs moeurs, à l'étendue de leurs lumières, à la pureté de leur religion, à la douceur de leur morale, à leurs habitudes laborieuses et rangées, à la retenue qu'ils conservent presque tous dans le vice comme dans la vertu, je ne crains pas qu'ils rencontrent dans leurs chefs des tyrans, mais plutôt des tuteurs. Je pense donc que l'espèce d'oppression dont les peuples démocratiques sont menacés ne ressemblera à rien de ce qui l'a précédée dans le monde; nos contemporains ne sauraient en trouver l'image dans leurs souvenirs. Je cherche en vain moi-même une expression qui reproduise exactement l'idée que je m'en forme et la renferme; les anciens mots de despotisme et de tyrannie ne conviennent point. La chose est nouvelle, il faut donc tacher de la définir, puisque je ne peux la nommer.
Je veux imaginer sous quels traits nouveaux le despotisme pourrait se produire dans le monde: je vois une foule innombrable d'hommes semblables et égaux qui tournent sans repos sur eux-mêmes pour se procurer de petits et vulgaires plaisirs, dont ils emplissent leur âme. Chacun d'eux, retiré à l'écart, est comme étranger à la destinée de tous les autres: ses enfants et ses amis particuliers forment pour lui toute l'espèce humaine; quant au demeurant de ses concitoyens, il est à côté d'eux, mais il ne les voit pas; il les touche et ne les sent point; il n'existe qu'en lui-même et pour lui seul, et s'il lui reste encore une famille, on peut dire du moins qu'il n'a plus de patrie.
Au-dessus de ceux-la s'élève un pouvoir immense et tutélaire, qui se charge seul d'assurer leur jouissance et de veiller sur leur sort. Il est absolu, détaillé, régulier, prévoyant et doux. Il ressemblerait à la puissance paternelle si, comme elle, il avait pour objet de préparer les hommes à l'âge viril; mais il ne cherche, au contraire, qu'à les fixer irrévocablement dans l'enfance; il aime que les citoyens se réjouissent, pourvu qu'ils ne songent qu'à se réjouir. Il travaille volontiers à leur bonheur; mais il veut en être l'unique agent et le seul arbitre; il pourvoit à leur sécurité, prévoit et assure leurs besoins, facilite leurs plaisirs, conduit leurs principales affaires, dirige leur industrie, règle leurs successions, divise leurs héritages; que ne peut-il leur ôter entièrement le trouble de penser et la peine de vivre ?
C'est ainsi que tous les jours il rend moins utile et plus rare l'emploi du libre arbitre; qu'il renferme l'action de la volonté dans un plus petit espace, et dérobe peu à peu chaque citoyen jusqu'à l'usage de lui-même. L'égalité a préparé les hommes à toutes ces choses: elle les a disposés à les souffrir et souvent même à les regarder comme un bienfait.
Après avoir pris ainsi tour à tour dans ses puissantes mains chaque individu, et l'avoir pétri à sa guise, le souverain étend ses bras sur la société tout entière; il en couvre la surface d'un réseau de petites règles compliquées, minutieuses et uniformes, à travers lesquelles les esprits les plus originaux et les âmes les plus vigoureuses ne sauraient se faire jour pour dépasser la foule; il ne brise pas les volontés, mais il les amollit, les plie et les dirige; il force rarement d'agir, mais il s'oppose sans cesse à ce qu'on agisse; il ne détruit point, il empêche de naître; il ne tyrannise point, il gêne, il comprime, il énerve, il éteint, il hébète, et il réduit enfin chaque nation à n'être plus qu'un troupeau d'animaux timides et industrieux, dont le gouvernement est le berger.
J'ai toujours cru que cette sorte de servitude, réglée, douce et paisible, dont je viens de faire le tableau, pourrait se combiner mieux qu'on ne l'imagine avec quelques unes des formes extérieures de la liberté, et qu'il ne lui serait pas impossible de s'établir à l'ombre même de la souveraineté du peuple.
Nos contemporains sont incessamment travaillés par deux passions ennemies: ils sentent le besoin d'être conduits et l'envie de rester libres. Ne pouvant détruire ni l'un ni l'autre de ces instincts contraires, ils s'efforcent de les satisfaire à la fois tous les deux. Ils imaginent un pouvoir unique, tutélaire, tout-puissant, mais élu par les citoyens. Ils combinent la centralisation et la souveraineté du peuple. Cela leur donne quelque relâche. Ils se consolent d'être en tutelle, en songeant qu'ils ont eux mêmes choisi leurs tuteurs. Chaque individu souffre qu'on l'attache, parce qu'il voit que ce n'est pas un homme ni une classe, mais le peuple lui-même, qui tient le bout de la chaîne.
Dans ce système, les citoyens sortent un moment de la dépendance pour indiquer leur maître, et y rentrent.
II y a, de nos jours, beaucoup de gens qui s'accommodent très aisément de cette espèce de compromis entre le despotisme administratif et la souveraineté du peuple, et qui pensent avoir assez garanti la liberté des individus, quand c'est au pouvoir national qu'ils la livrent. Cela ne me suffit point. La nature du maître m'importe bien moins que l'obéissance.
Je ne nierai pas cependant qu'une constitution semblable ne soit infiniment préférable à celle qui, après avoir concentré tous les pouvoirs, les déposerait dans les mains d'un homme ou d'un corps irresponsable. De toutes les différentes formes que le despotisme démocratique pourrait prendre, celle-ci serait assurément la pire.
Lorsque le souverain est électif ou surveillé de près par une législature réellement élective et indépendante, l'oppression qu'il fait subir aux individus est quelquefois plus grande; mais elle est toujours moins dégradante parce que chaque citoyen, alors qu'on le gêne et qu'on le réduit à l'impuissance, peut encore se figurer qu'en obéissant il ne se soumet qu'à lui-même, et que c'est à l'une de ses volontés qu'il sacrifie toutes les autres.
Je comprends également que, quand le souverain représente la nation et dépend d'elle, les forces et les droits qu'on enlève à chaque citoyen ne servent pas seulement au chef de l'Etat, mais profitent à l'Etat lui même, et que les particuliers retirent quelque fruit du sacrifice qu'ils ont fait au public de leur indépendance.
Créer une représentation nationale dans un pays très centralisé, c'est donc diminuer le mal que l'extrême centralisation peut produire, mais ce n'est pas le détruire.
Je vois bien que, de cette manière, on conserve l'intervention individuelle dans les plus importantes affaires; mais on ne la supprime pas moins dans les petites et les particulières. L'on oublie que c'est surtout dans le détail qu'il est dangereux d'asservir les hommes. Je serais, pour ma part, porté à croire la liberté moins nécessaire dans les grandes choses que dans les moindres, si je pensais qu'on pût jamais être assuré de l'une sans posséder l'autre.
La sujétion dans les petites affaires se manifeste tous les jours et se fait sentir indistinctement à tous les citoyens. Elle ne les désespère point; mais elle les contrarie sans cesse et elle les porte à renoncer à l'usage de leur volonté. Elle éteint peu à peu leur esprit et énerve leur âme, tandis que l'obéissance, qui n'est due que dans un petit nombre de circonstances très graves, mais très rares, ne montre la servitude que de loin en loin et ne la fait peser que sur certains hommes. En vain chargerez-vous ces mêmes citoyens, que vous avez rendus si dépendants du pouvoir central, de choisir de temps à autre les représentants de ce pouvoir; cet usage si important, mais si court et si rare, de leur libre arbitre, n'empêchera pas qu'ils ne perdent peu à peu la faculté de penser, de sentir et d'agir par eux-mêmes, et qu'ils ne tombent ainsi graduellement au-dessous du niveau de l'humanité.
J'ajoute qu'ils deviendront bientôt incapables d'exercer le grand et unique privilège qui leur reste. Les peuples démocratiques qui ont introduit la liberté dans la sphère politique, en même temps qu'ils accroissaient le despotisme dans la sphère administrative, ont été conduits à des singularités bien étranges. Faut-il mener les petites affaires où le simple bon sens peut suffire, ils estiment que les citoyens en sont incapables; s'agit-il du gouvernement de tout l'Etat, ils confient à ces citoyens d'immenses prérogatives; ils en font alternativement les jouets du souverain et ses maîtres, plus que des rois et moins que des hommes. Après avoir épuisé tous les différents systèmes d'élection, sans en trouver un qui leur convienne, ils s'étonnent et cherchent encore; comme si le mal qu'ils remarquent ne tenait pas à la constitution du pays bien plus qu'à celle du corps électoral.
Il est, en effet, difficile de concevoir comment des hommes qui ont entièrement renoncé à l'habitude de se diriger eux-mêmes pourraient réussir à bien choisir ceux qui doivent les conduire; et l'on ne fera point croire qu'un gouvernement libéral, énergique et sage, puisse jamais sortir des suffrages d'un peuple de serviteurs.
Une constitution qui serait républicaine par la tête, et ultra-monarchique dans toutes les autres parties, m'a toujours semblé un monstre éphémère. Les vices des gouvernants et l'imbécillité des gouvernés ne tarderaient pas à en amener la ruine; et le peuple, fatigué de ses représentants et de lui-même, créerait des institutions plus libres, ou retournerait bientôt s'étendre aux pieds d'un seul maître.


Voici un portrait impitoyable de la réalité contemporaine, composé il y a plus de 150 ans par Alexis de Tocqueville (De la Démocratie en Amérique, vol. II, Quatrième Partie, Chapitre VI, 1840).
A méditer goulûment...

23 octobre 2006

Chirak


Qui est-il vraiment cet homme que nous subissons depuis tant d'années? Un jeune ambitieux? Un incompétent notoire? Un opportuniste sans scrupules?
Enfin des réponses et une chaîne publique qui produit du bon documentaire (j'espère)...
A ne pas manquer ce soir sur France 2 dès 20h50. J'attends vos commentaires et vos réactions.
P.S: il s'agit de l'homme de droite sur la photo, plutôt enfant de choeur à côté de celui qui est placé à gauche.

16 octobre 2006

Fraîcheur

S'il vous plaît, allez voir ce clip de Kamini qui vous met un p'tit coup de verdure là où on en a besoin: cliquez ici.
Bien sûr, je ne m'adresse pas aux bloggeurs troglodytes qui n'ont ni le son ni l'image (j'espère au moins que leur PC décore agréablement leur salon, ils n'auront ainsi pas tout perdu).

PS: article de Libé sur lui.

14 octobre 2006

polémiquons, miquons.

Faut-il sanctionner (positivement ou négativement) nos chers élèves par une note qui figurerait sur le bulletin au même titre que les notes un peu aléatoires, il faut le dire d'un keski ou d'un j'voirabien ( c'est bien connu y'a que les notes en maths qui ont une valeur scientifiquement objective). Même en histoire, les faits sont les faits ou alors on s'inscrit à une certaine fac à Lyon et on vote pour un mec qui peut-être va se retrouver au 2° tour si on ne réagit pas TOUT DE SUITE !!!!
Bref trop de digression tue la digression, alors t'en penses quoi toi de la réduction mammaire ?