
Voilà, je crois bien que nous sommes tous là pour te souhaiter un très bon anniversaire.
Je t'embrasse.
Ne jamais croire que c'est perdu, ne jamais croire que c'est gagné...


Premier film est non des moindres, 8 oscars à lui tout seul ! L'histoire de Jamal Malik, un petit indien des bidonvilles de Bombay qui gagne à Qui veut gagner des millions, a-t-il triché ? Est-ce son destin ? L'histoire se déroule en flash back et l'on voit Jamal à plusieurs moments de sa vie (les acteurs sont d'ailleurs très inégaux). Un film sympa, rythmé, montrant les changements brutaux et soudains de l'Inde des années 80 à nos jours. Mais un peu naïf, un anti-héro que l'on ai forcé d'aimer, l'histoire d'amour est très bollywoodienne.
Une patate pour un bon moment passé en Inde malgré tout les malheurs du héros, mais les 8 oscars sont un peu excessifs !
L'histoire de Benjamin Button est celle d'un homme qui naît avec le corps d'un vieillard et qui rajeunit à la même vitesse que nous vieillissons. C'est une fable sur le temps, le sens de la vie, la contingence. Brad Pitt est très inspiré (surtout en ce moment ) Cate Blanchett est divine (comme toujours). Le film débute sur l'histoire d'un horloger Mr gâteau (c'est son vrai nom dans le film) chargé de construire l'horloge de la gare de la Nouvelle Orléans, pendant la construction il apprend la mort de son fils parti combattre dans la Somme. Mr gâteau invente alors une horloge qui fonctionne à l'envers, si le temps part dans l'autre sens son fils ne meurt pas, il ne part pas à la guerre et la vie suivra son cours. L'histoire résume le film, le refus de l'Histoire, du temps qui passe, de la fatalité...
européenne, la France tous pourris. Le dernier Costa-Gavras nous invite à suivre l'Odyssée d'Elias immigré clandestin venu d'un pays inconnu (Albanie ? Kosovo ?) . Son rêve se résume en un mot : Paris. Dès les premières minutes du film on se retrouve en face du doigt accusateur du réalisateur, l'Occident, l'UnionElias rencontre des gens humains, gentils ou salauds, qui participent à l'aventure bon grès mal grès. Mais on constate une noirceur grandissante au fur et à mesure qu'Elias se rapproche de son but, les Italiens l'arnaquent (normal) mais les Français l'exploitent, le maltraitent, le pourchassent. La police est déshumanisée et les Parisiens font vraiment peur (seul d'autres marginaux comme les SDF peuvent le comprendre !).

En tout cas si c'est le dernier Eastwood, chapeau bas !
L'histoire d'un chien transformé par l'énergie atomique en super héros tirant des rayons lasers avec ses yeux et terrassant des tanks en aboyant. Tout cela est faux, c'est juste pour la télé, tout le monde le sait sauf Volt lui-même que l'on maintient dans la croyance ridicule qu'il est surpuissant (The Truman show n'est pas loin). Évidement tout change lorsque Volt se retrouve loin des studios par un coups du sort et cherche à retrouver Penny la petite actrice qui joue sa maîtresse dans la série télé. Le film brasse pas mal de thèmes: le star system, la télé poubelle (les scènes d'actions sont bourrées de ralentis excessifs qui arrachent des wahhouuu au jeune public, junior compris !) , l'abandon d'animaux, et évidemment l'amitié.
Volt rencontre dans ses tribulations un kikinou de gouttière sarcastique et craquant : Mitaine



. On passe de l'arabe à l'hébreu et on ne sait plus si on doit dire shalom, salam, good morning....
Le mur des Lamentations



Agathe Cléry
Une working girl ambitieuse et raciste est victime d’une maladie qui lui rend la peau noire…Ereinté par les critiques, ce film garde pour moi toute la patte Chatillez : des répliques grinçantes, un humour caustique et des traits de société souvent bien épinglés. Dommage que la fin vire au conte de fée et au happy end un peu trop appuyé







