Quand y'aura plus sur la terre que du beurre fondu
Avec le dernier soupir du dernier disparu
Dernier boum d'la dernière guerre
Dernière ville sous la poussière
Et dernier espoir perdu
Ce chemin vert sous les arbustes est protégé
Par les premiers soupirs des tout premiers baisers
Premier mot d'la première heure
Première minute de bonheur
Premier serment partagé
Tu t'rappelles, on s'était couché
Sur un millier de fourmis rouges
Aucun de nous deux n'a bougé
Les fourmis rouges
Est-ce que quelque chose a changé ?
Couchons-nous sur les fourmis rouges
Pour voir si l'amour est resté
Et voir si l'un de nous deux bouge
Couchés sur les fourmis rouges
Tu n'auras jamais peur du vent qui souffle ici
Pour les scorpions te fais pas d'soucis
Les mauvais chagrins d'hier
Les orties dans les fougères
Quand on s'aime ils nous aiment aussi
Ce chemin sous les arbustes nous connaît bien
De nos tout premiers rires c'est le premier témoin
Refuge de la dernière heure
Et dernière tâche de bonheur
Aux premiers signes du destin
Tu t'rappelles on s'était couché
Sur un millier de fourmis rouges
Aucun de nous deux n'a bougé
Les fourmis rouges
Est-ce que quelque chose a changé ?
Couchons-nous sur les fourmis rouges
Pour voir si l'amour est resté
Et voir si l'un de nous deux bouge
Couchés sur les fourmis rouges
Avec le dernier soupir du dernier disparu
Dernier boum d'la dernière guerre
Dernière ville sous la poussière
Et dernier espoir perdu
Ce chemin vert sous les arbustes est protégé
Par les premiers soupirs des tout premiers baisers
Premier mot d'la première heure
Première minute de bonheur
Premier serment partagé
Tu t'rappelles, on s'était couché
Sur un millier de fourmis rouges
Aucun de nous deux n'a bougé
Les fourmis rouges
Est-ce que quelque chose a changé ?
Couchons-nous sur les fourmis rouges
Pour voir si l'amour est resté
Et voir si l'un de nous deux bouge
Couchés sur les fourmis rouges
Tu n'auras jamais peur du vent qui souffle ici
Pour les scorpions te fais pas d'soucis
Les mauvais chagrins d'hier
Les orties dans les fougères
Quand on s'aime ils nous aiment aussi
Ce chemin sous les arbustes nous connaît bien
De nos tout premiers rires c'est le premier témoin
Refuge de la dernière heure
Et dernière tâche de bonheur
Aux premiers signes du destin
Tu t'rappelles on s'était couché
Sur un millier de fourmis rouges
Aucun de nous deux n'a bougé
Les fourmis rouges
Est-ce que quelque chose a changé ?
Couchons-nous sur les fourmis rouges
Pour voir si l'amour est resté
Et voir si l'un de nous deux bouge
Couchés sur les fourmis rouges
7 commentaires:
POurquoi publier ce texte (putain de nostalgie et de chanson triste...)???
Désolé Le Pays.
Y'en avait ki connaissaient pas...
Ah bah voila!! Comme quoi heureusement que le net est là pour réussir à sortir des souvenirs si profonds!!
Bah oui, on a le droit de ne pas TOUT connaître... ON est pas de la même génération Keski, n'oublie pas ça!
Je ne sais pas trop comment prendre ta dernière réflexion, Neigeounette, car en fait je connaissais cette chanson...
Non reconnue lorsque Keski nous a fait la démo de sa belle voix de stentor, certes, mais tout à fait reconnaissable lorsque Michel chante.
Dès lors, je cherche ma place : génération "pas encore à la page" ou celle "déjà dépassée" ?
"Une genéraaaaaaaaaaaaaaation....
Désenchantéééééééééée...."
Chacun ses références. Désolé.
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