Entendu à la radio

"Il n'y a pas de mauvais élèves,
il y a en revanche de mauvais enseignants".

Claude Duval, directrice d'Euroécole.

suite

"Cosette est maltraitée, elle est traitée comme une maîtresse de maison."

partie argumentative:
"Mon avis sur le livre est nul, je ne m'y intéresse absolument pas. Je l'ai lu car on y est plus ou moins obligé par l'éducation qu'on nous impose (ça ne veut pas dire que cette éducation nous est imposée à tort), car selon certaines personne, ce livre est important pour notre culture générale, mais je pense que ces raisons sont discutables."
J'ai dit à l'élève qu'il était hors sujet, car il s'agissait de donner son avis argumenté sur le livre, et non sur l'enseignement du français au collège...Qu'en pensez vous?

Visions d'élèves

Le prof: "Quelle est la grande ville de l'Est située près de l'Allemagne?"
L'élève: "Rennes"
Le prof qui se met à rire (très mal, très anti pédagogique): "Excusez-moi, ca me rappelle quelqu'un"

Le prof en fin de cours:
"Dis donc, K, tu continues à t'agiter pendant les cours"?
L'élève:
"Je vous assure , M'sieur, je suis hyper calme, tellement qu'on dirait que ch'uis morte en cours, demandez à Monsieur Keski, je suis très calme."

Un élève calme est-il un élève mort?

Enfin!

Depuis le temps que je l'attendais cette condamnation...même symbolique, même avec plein de possibilités d'appel! Quelle image détestable ces deux-là ont donné de la politique, de la démocratie et de Paris!
Maintenant, il faudrait faire le procès de ces crétins qui ont constamment réélu cet homme là. (les vrais, car y avait pas que ceux du cimetière qui votaient Tibéri)

citation du lundi soir (dédicaces)

" Elle dit des choses graves qui, normalement, devraient démolir. Elle s'en prend à notre vie, à ce que j'en ai fait. Elle a sans doute ses raisons pour me reprocher tout cela. Ce qu'elle ignore, c'est qu'en ce moment même, au coeur du drame, malgré ses cris et ses reproches, je ne l'entends pas. Assis dans mon fauteuil, la tête légèrement inclinée, je n'écoute que le bruit de la pluie qui rebondit sur les tuiles du toit. Et je pense à toute l'herbe qui pousse. Et à la tondeuse qui m'attend."

Tondeuse de Jean-Paul Dubois

Citation du dimanche soir

"Rien ne développe l'intelligence comme les voyages "
Emile Zola
Les littéraires, parfois , ça vous réchauffe l'âme.

Anniversaire

Aujourd'hui, le blog a 3 ans !
Youpi.

C'est beau l'Europe

Le Parlement européen lance une campagne de sensibilisation à la journée de vote du 7 juin prochain. A vous de voter pour la meilleure...

Choisissez votre Eurodéputé ! (épisode 2)
envoyé par pejfrance. - L'info video en direct.

Pour la dernière vidéo à voir ici, ça n'a pas de rapport avec les élections mais c'est quand même pour le moins inattendu... (et dire que tout ça c'est avec nôzimpô)

Il court, il court, le Tilleul !

Voilà donc le rapport circonstancié que mérite Petit père Nezrouge sur le grand évènement caritatif-sportif initié il y a deux ans déjà !

Prologue :

Tout d'abord il y eut l'entraînement du Pays des rêves et de Zapata pour ne pas faire pâle figure. Coach Nezrouge est impitoyable !

AVANT :




















Après :





















L'évènement angoissant :


Ce doux mois de mai nous a fait bien des frayeurs, quelques minutes avant le départ, je contemplais les bourrasques de vent et les trompes d'eau qui tombaient sur la cour.

Le Pays des rêves se présente tout de noir vêtue en pleine forme et aussi angoissée que motivée. Coco , troisième professeur à courir pour la cause, a le sourire. Nous plafonnons donc à trois participants côté enseignants. Les objectifs pour l'année prochaine ? Chemato à vélo et Dame'nut aux cotés du Paysdesrêves ?

Le chemin de croix :

"Nous partîmes une centaine et nous arrivâmes trempés" (Le Cid des Tilleuls) .

En effet, la pluie a failli avoir raison de l'évènement, la colonne d'élèves s'arrête en plein milieu d'une rue à mi-chemin sur un trottoir. Jojo, un accompagnateur pas franchement coopératif cette année, nous demande de rentrer, que faire des élèves ? Odette intervient à ce moment là, tel un Alexandre sur Bucéphale, elle donne l'ordre d'avancer. La colonne repart, les élèves crient de joie. On espère tout de même que le déluge ne durera pas !

La course, un joyeux bordel :

L'arrivée sur le site se déroule normalement. Des ordres et des contre-ordres fusent, une course unique de 25 minutes avec départ décalé pour les 6e !
Qui compte les tours ? Chacun compte les siens, un joyeux bordel et tous les élèves sur la piste en même temps !
Je rejoins lepaysdesrêves pour le départ des 5e, comme d'habitude le premier passage est une charge sans pitié. Zapata et Lepays courent de concert, les 6e partent alors que nous sommes à mi-chemin. Lepaysdesrêves, avec son amabilité dont elle seule à la secret, m'enjoint avant la fin du premier tour "Je m'épuise à te suivre part tout seul !".

Ce que j'ai aimé :

Tous les élèves en même temps, cela permet une émulation plus grande. On se chambre, on se supporte, on s'encourage, un très bon moment, plus intense que les autres années.
La présence des surveillants et de certaines élèves de 4e qui m'ont tous semblé forts sympathiques et tous soudés autour de l'évènement.
Le sprint final, je rejoins C.D. une élève de 5e particulièrement en forme. Je pose ma main sur son dos pour l'inciter à me suivre en haussant le rythme, elle me jette un regard "l'oeil du tigre", on accélère ensemble. Deux egos en jogging et une course effrénée, je l'emporte non sans peine, elle repart pour un tour par défiance.
A l'arrivée, le paysdesrêves bondit comme une gazelle, aux côtés de E.G. une élève de 5e qui lui a servit de sparring-partner, contente de sa performance et pas du tout marquée par l'effort. Coco affiche le même sourire qu'au début, elle fait plaisir à voir.

Les couacs:

La direction au sommet de son incompétence, elle banalise une journée et se rend compte une semaine avant la course que les 4e et les 3e ne courent pas !
Les critiques sur l'organisation (certes chaotique) venant de gens qui n'organisent rien (dédicace au polyexpert).
L'absence d'apéro, Odette, Neigedessables,Lepaysdesreves, coco et moi affalés sur des canapés juste du jus de pomme berlinois pour fêter ça !
Le retour aussi fut catastrophique, on croise les doigts pour ne pas avoir perdu un élève en route !

Épilogue:

Nezrouge peut être fier de nous, l'évènement lui survit, s'inscrit comme une tradition. Les promesses de dons et l'enthousiasme des élèves ne faiblit pas. La météo et l'improvisation ont rendu l'évènement plus surréaliste et plus sympathique en fin de compte. Reste à récupérer l'argent.

Pour répondre aux posts précédents, Odette décide de raconter sa vie trépidante, et pleine de bulots cuits...
En ce jeudi 30 avril, veille de long week-end et jour quasi-radieux, Odette est heureuse : pas de cours ce jour-ci, le tube sera chez sa nourrice jusqu'à 14h, elle peut préparer ses valises tranquille ! Il est 7h30. Départ prévu pour les Vacances : 14h.

8h : le téléphone sonne. Une voix annonce à Odette une désagréable nouvelle : Titine, sa meilleure copine, son amie de toujours-après-le-permis, vient de défaillir sur la N104. Elle ne s'en relèvera pas. Instant remember.

8h15 : Odette, appelée sur place, commence à courrir. Il faut jeter le tube plus tôt que prévu, mais nounou injoignable. Facile : Odette apprend à faire le pied de grue devant sa porte, et s'entraîne au lancer de nain. Départ prévu : 14h.

8h35 : Odette est partie avec Titine n°2. Utile, mais petite. Elle passe coups de fil sur coups de fil (vive le "main-libre") : comment ça, "l'assurance ne prend pas en charge à 48 km du domicile" ?! Pas de remorquage, donc : depuis la sortie de la N104 jusqu'au garage, il va falloir tracter. Départ prévu : 14h...

9h35 : Odette arrive devant la Grande Titine, et lui rend hommage.
9h36 : Odette apprend que l'embrayage a lâché. C'est vrai que Titine n'allait pas bien ces temps-ci...
9h37 : Odette apprend ce qu'est un embrayage : le Monsieur au camion-remorque lui dit que c'est un dispositif d'accouplement temporaire entre un arbre dit moteur et un autre dit récepteur. Du fait de sa transmission par adhérence, il offre une mise en charge progressive de l'accouplement qui évite les à-coups qui pourraient provoquer la rupture d'éléments de transmission ou le calage dans le cas d'une transmission depuis un moteur thermique.
9h38 : ... ?!
9h39 : Le monsieur rajoute que, sur les véhicules automobiles, l'embrayage est nécessaire parce que le moteur doit continuer à tourner même si le véhicule est à l'arrêt. L'avenir de Titine, c'est la casse. Départ prévu : 14h ?

9h40 : L'assurance rappelle pour dire que, par dérogation expresse et dans un élan de générosité, elle prend en charge le remorquage. Odette écoute la nouvelle, stoïque, en regardant le camion-remorque s'éloigner avec le Monsieur, définitivement plus à portée de voix. Départ prévu : 14h30.

10h05 : Odette a rappelé le garage, qui lui envoie un autre camion-remorque. Elle attend toujours. Elle récupère ce qu'elle peut. Retrouve son CD du Buena Vista Social Club.
10h45 : Le camion arrive, avec son chauffeur qui s'excuse du retard : les embouteillages.
10h50 : 1,2 km plus loin, Odette arrive au garage de Linas-Montlhéry, sans embouteillage... Stoïque, toujours.
10h55 : La réceptioniste, aux ongles magnifiquement manucurés et maquillage impeccable, sort enfin de sa transe téléphonique. Odette cache ses mains boueuses et essuie la tâche de graisse sur sa joue (souvenir de feu-roue-de-secours), présente ses papiers.

11h : Barbie annonce à Odette qu'elle est désolée. Aïe. Il manque un papier… C'est quoi, ça, un certificat de non-gage ? Odette ne doit pas s'inquiéter : Barbie sait utiliser le serveur de la préfecture, et elle n'aura pas à retourner à Melun. Départ prévu : 14h30 ?
11h15 : Non, décidément, le serveur internet ne veut rien savoir. Il doit être en panne. Il aurait fallu l'apporter, ce papier ; il aurait fallu y penser. Odette réfléchit au moyen de contourner la vitre de sécurité pour enfoncer un cerveau dans la tête de Barbie, qui en manque manifestement, puis décide de tenter l’explication orale : Odette n’avait pas prévu de perdre Titine ce matin... Départ prévu : 15h.

11h30 : La course contre la montre commence. Devant le manque évident de bonne volonté du serveur, Odette demande à Barbie s’il est possible d’obtenir ce papier dans une préfecture ou sous-préfecture du coin. Barbie les appelle toutes : le serveur est en panne dans tout le 91, il va falloir retourner à Melun.
11h35 : Le sort s’acharne contre Odette. Pensant à ses Vacances, Odette demande à Barbie s’il n’est pas possible de repasser avec ce fichu papier lundi. Devant l’ampleur de la demande, Barbie appelle Ken. Départ prévu : 15h ?
11h45 : Ken arrive. Chauve. Il explique à Odette que le garage ne peut prendre la responsabilité de garder la voiture dans son enceinte s’il n’a pas tous les papiers, et qu’il faudra donc la laisser dehors. Odette s’inquiète du vandalisme, mais Ken la rassure : Titine ne démarre pas, elle est protégée contre le vol… Odette se demande alors comment sortir la voiture de l’enceinte si elle ne roule pas...

12h : Odette repart, avec l’assurance que le garage ne jettera pas la voiture jusqu’au soir. Programme : aller jusqu’à la concession confirmer l’acquisition d’une voiture pour la semaine suivante, rentrer chez Odette, appeler la préfecture de Melun et aviser. Départ prévu : 15h30.

Au final, Odette est rentrée chez elle vers 14h, ayant prévenu nounou-garde-tube (il fallait y penser) qu’elle ne serait jamais là à l’heure. Elle n’a réussi à joindre Melun qu’à 14h30 pour s’entendre dire qu’aucun certificat ne serait délivré avant le 6 juin car le serveur était en panne au niveau national ; il fallait faire une demande écrite, qui ne serait pas traitée avant la semaine suivante, voire celle d’après. Sur cette (absence) d’explication, Ken et son garage ont accepté de garder Titine jusqu’à son dernier voyage. Il était 15h.
Odette s’est mise à la rédaction de ladite lettre, puis à ses valises, puis récupéra son tube vagissant, et prit la route : 16h.

Dans la Petite Titine, Odette méditait : quel impact ces journées peuvent-elles avoir sur la crise de l’automobile ?

Le blues d'Hérodote

"Il n'y a pas que les bisounours qui rêvent, il n'y a pas que les bisounours qui des sentiments !"
Je tiens moi aussi à hurler mon mal être et mes traumas à la face du monde.

En effet, cela fait plus de 6 mois que je vis un calvaire face à une classe de bulots cuits, je pense que cette épreuve vaut bien un post.

Dernière heure d'une longue journée, je fais rentrer dans ma salle cette bande de joyeux drilles. J'interroge Paline, comme d'habitude elle ne sait rien, et seuls 3 élèves sont capables de répondre à mes questions sur le cours précédent. Je la renvois à sa place illico pour éviter le massacre.
Nous continuons un cours sur la Gaule romaine avec une étude sur le plan de Lyon. Ainsi commence un nouveau cours surréaliste digne d'un Tim Burton revisité par les Monty Python.
"Est-ce que quelqu'un sait ce qu'est un Odéon ?" (aucune réponse j'explique)

"Vous pouvez me citer un autre lieu de loisir?"
Jiji : "atelier monétaire!"
"Mais on fait quoi dans un atelier monétaire ?"
Jiji :"Bah ch'ai pas de la monnaie"
"Et c'est un loisir de faire de la monnaie ?"

On passe aux lieux d'activités économiques.
Jiji : "M'sieur, c'est quoi les nautes de la Saône ?"
"Bonne question, ce sont des marchands, le mot nautes doit vous faire pensez à mot français"
Jiji "bah les notes !"
"Mais non là c'est N A U T"
(3 minutes plus tard) jiji "nautique"
"Très bien, alors d'après vous le fleuve , pourquoi les marchands s'en servent"
Lala qui trépigne d'impatience et lève les deux doigts: "Ils vendent des planches à voile !"
"Mais non, ca n'existe pas à l'époque !"
Lala bougonne "bah moi je pensais qu'ils vendaient un truc pour se baigner !"
Je reformule 4 fois ma question, "vous êtes marchand, il y a un fleuve , vous pouvez vous en servir pourquoi ?"
Cheche me sauve: "On transporte les marchandises"
J'exulte et essuie mon front : "c'est tout fait ca !"

Jean-Claude Dusse et l'onomastique

Bon un quart d'heure pour un exercice qui devait durer 5 minutes c'est pas grave. Les Gaulois qui font de la planche à voile, pas grave non plus. Je vais tout de même leur faire de l'histoire culturelle ! Même quand tout est perdu on essaye encore !

J'écris onomastique au tableau, je leur explique que c'est la science qui étudie les noms. Je leur explique que les Gaulois n'avait pas de nom de famille.
"D'après vous comment on fait pour différencier deux Vercingétorix"
Rara : "Bah on l'appelle par son nom"
"Je viens de vous dire qu'ils en avaient pas !"
Nono : "On met un deuxième X au prénom"
"Mais quand tu l'appelles, tu peux pas savoir l'orthographe de son nom !"
jiji : "On leur donne des numéros"
"Mais vous pouvez pas tenir des comptes de tout les Vercingétorix de la région !"
Je donne la réponse, et je leur explique l'onomastique romaine. J'écris CAIUS IULIUS CAESAR, Mama le seul élève intellectuellement stable trouve tout de suite qu'il s'agit de Jules César.
"Bon, les Romains ils ont combien de noms ?"
"3!!" (on vient de franchir un pas de géant, j'écris donc tria nomina en expliquant que tout les citoyens romains possèdent trois noms).
"Bon dans le tableau qu'on a complété, on a l'arrière grand-père qui s'appelle Epotsoviridos, et le père qui s'appelle CAIUS JULIUS RUFUS. D'après vous le nom du père c'est un nom de quelle origine ?"
Mimi: "Gaulois"
"Rufus c'est pas gaulois , pensez à Astérix, les noms en US !"
Lala qui trépigne une nouvelle fois :"c'est grec !"
"Mais non ! On étudie la Gaule romaine, y a pas de Grec dans l'histoire ! Rufus si c'est pas Gaulois c'est..."
Mimi : "Romain"
" Alors entre Epotsoviridos et Caius Julius Rufus il s'est passé quelque chose. Le grand père il avait pas quoi ?"
Mimi "il avait pas de nom ! "
La sonnerie retentit, "non vous sortez pas tant qu'on a pas finit d'expliquer ca ! " (jean-Claude Dusse jusqu'au bout !)
"Bon Epotsoviridos , son fils il a un nom romain, lui il avait pas quoi ?" Je me décale et de manière autoritaire je fais un geste en direction de tria nomina toujours écrit au tableau.
Silence dans la salle.
"Mais le grand père il a un nom gaulois donc il avait pas quoi ?" Je remontre le tableau.
Jiji et Lala en coeur : "Il avait pas d'onomastique !"
"Bon vous pouvez ranger vos affaires"

Misère!

Famille recomposée:
"Fantine n'avait plus assez d'argent pour payer la pension alimentaire, alors elle a fait une dépression."

Bois de Boulogne:
"Jean valjean, pour rentrer au couvent, s'est déguisé en bonne soeur".

Décorateur capillaire:
"Fantine s'est rasée la tête et a fait une jupe en cheveux pour sa fille."

Etudiant en médecine:
"Fantine a vendu ses cheveux, ses dents, puis tout le reste de son corps..."

Bling-bling :
"Jean Valjean vole un oreiller en or à l'évêque"...

Bon séjour aux trois gentils petits loups et au chaperon orange...

10 minutes devant la télé:tranche de vie du Pays

Le petit Pays chez sa mère-grand, monsieur Pays parti je ne sais où avec des chanteurs des années 80 qui vivent un retour de flamme, me voilà, moi et mon magnum géant caramel-chocolat devant la Télé.
Journal de 20 heures: le nabot, encore, qui se lèche les pattes pour faire sa toilettes devant des nîmois (?) à sa bottes. Quand je pense que mon père est né à Nîmes!!!
Puis, l'Italien et sa femme refaite qui se barre quand même. Il dit qu'il s'agit d'un complot de la gauche.Je me demande si c'est ainsi qu'il justifiait toutes les nymphettes à peine pubères qu'il se tapait chaque semaine,
puis PBLV, des "actrices" qui n'ont pas la chance d'avoir plusieurs prises essaient d'exprimer des émotions en faisant bouger leurs sourcils de manière éxagérée (nb: c'est aussi ce que fait Chemato pour jusitifier de son comportement limite...)

J'éteins la télé,
je vais me resservir un verre de vin.

Pétition

ici.

L'histoire des trucs

Petite vidéo américaine à voir (20 mn) et à méditer.
Il suffit d'aller là et de sélectionner les sous-titres français.