08 septembre 2008

Jamais très loin.

Et bien, il manque quelque chose, quand même...les nouveaux n'ont plus de décolletés foudroyant pour se perdre dedans (au cas où ils auraient résisté au vert des yeux rieurs), plus de sourires enjoleurs, plus de pain de mie à rien et du coca zéro pour le déjeuner , plus de gouttes d'orage ténébreux qui descendent du ciel entre deux roues (ou une seule d'ailleurs)et qui nous apprennent à jongler avec la révolte, plus de "ui", de "tuigo", de mirabelles, de noir et vert, de rouge et bleu, de pluie sur le cahier de texte, de lunettes glamours dans la récré, de café entre deux portes, de portes entre deux cafés, d'arrêt de cigarettes,de confettis lumineuses dans les couloirs sombres, et puis, et puis...
Ils manquent.
Ils me manquent ces trois là.
Voilà.
Je voulais simplement le redire une nouvelle fois,
même si peu importe le lieu,
on est capable de dépasser le parking fumeur...
Je vous embrasse. Tous les trois.

1 commentaire:

Anonyme a dit…

je vous embrasse aussi...3 fois