Souvenez-vous, c'était tellement mieux avant.
Le professeur était respecté, et pouvait tancer gentiment un élève en lui disant:
"Tu n'as pas fait grand-chôôôse, le certificat d'études s'annonce difficile".
On pouvait échanger entre collègues sur la situation internationale:
"Les Soviétiques vont tôt ou tard nous attaquer et nous ne faisons pas grand chôôôse".
On craignait, déjà, l'amputation du pouvoir d'achat:
"Il n' y a pas grand-chôôôse à espérer depuis le premier choc pétrolier"
1 commentaire:
Ooooh la la la, mon ptit Jean-Mimi. Nous avons une attaque frontale contre Keski. Et là, je crois qu'il ne pourra pas y faire grand-chose...
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