...Il faut aller jouer un peu là.
Bises à toutzétouss.
Ne jamais croire que c'est perdu, ne jamais croire que c'est gagné...
30 juillet 2009
28 juillet 2009
Début de vacance
Pour faire écho au désarroi de Chemato, je décide de faire mes devoirs de vacance et publie le début de mes tribulations.
Tout d'abord je rend hommage à un petit village de pêcheurs qui inspira le mouvement fauviste:
Collioure un endroit magnifique !
Ensuite une forteresse démesurée, restaurée par Viollet Leduc qui aurait mieux fait de s'abstenir car cela fait vraiment château de la Belle au bois dormant
Carcassonne surpeuplé, "touristifié " comme dirait un géographe
Une belle rando dans les Pyrénées à l'assaut du mont Canigou, le plus haut sommet de Catalogne (2700 m)
Le mois de juillet ne serait pas complet sans l'inévitable et franchement horripilant Tour de France
Le 4 août décollage direction Erevan pour de nouvelles aventures !
Tout d'abord je rend hommage à un petit village de pêcheurs qui inspira le mouvement fauviste:
Collioure un endroit magnifique !
Ensuite une forteresse démesurée, restaurée par Viollet Leduc qui aurait mieux fait de s'abstenir car cela fait vraiment château de la Belle au bois dormant
Carcassonne surpeuplé, "touristifié " comme dirait un géographe
Une belle rando dans les Pyrénées à l'assaut du mont Canigou, le plus haut sommet de Catalogne (2700 m)
Le mois de juillet ne serait pas complet sans l'inévitable et franchement horripilant Tour de France
Le 4 août décollage direction Erevan pour de nouvelles aventures !
27 juillet 2009
Chronique littéraire "Autant en emporte le vent"
Je profite du vide estival qui se prolonge sur ce blog et de l'absence de notre très cher administateur pour meubler. Ce soir, j'ai envie de me prendre pour Le pays, raconter mes lectures et exprimer mes sentiments profonds.
Bon, dans mon cas, un roman par an, ça me suffit. Cet été, grâce à mon cher Keski qui m'en a offert un exemplaire dédicacé par Scarlett et Rhett (les vrais?), je me suis lancé dans la lecture du roman ayant abouti à un de mes films préférés "Gone with the wind". Un classique, je sais mais j'en suis pas encore arrivé à la littérature contemporaine.
Résultat? Je me suis passioné pour ces personnages complexes, tiraillés par l'ambition, qui assitent souvent dépassés à l'effondrement d'un univers, la société sudiste. Bien écrit, des analyses psychologiques souvent fines, un vrai dépaysement, et une héroïne Scarlett au tempérament bien trempé qui montre le féminisme avant-gardiste de l'auteure. Et pourtant, deci-delà, une glorification de la société esclavagiste et une accumulation de préjugés assez ignobles qui m'ont presque amené à arrêter à la page 465. Extrait:
" Bien entendu, ils (les noirs) se comportaient comme il fallait s'y attendre de la part de créatures si peu intelligentes. Pareils à des singes ou à des petits enfants lâchés au milieu d'objets dont ils ne pouvaient comprendre la valeur, ils se livraient à toute sorte d'excès soit par plaisir de détruire, soit par ignorance".
J'imagine qu'avec ce genre d'extrait (on en trouve une dizaine du même acabit), je ne vais pas vous donner envie de le lire ou le relire, mais une fois que l'on comprend les origines sociales de Margaret Mitchell , du milieu dans lequl elle a grandi, on comprend un peu que 70 ans après l'abolition de l'esclavage , les choses avaient peu bougé aux Etats-Unis.
En attendant, je me replonge dans l'univers de Tara, avec Mélanie, Mama et les autres...
Mam Scarlett!
18 juillet 2009
Ca décoiffe...
La Cour européenne des droits de l'homme a déclaré irrecevables des plaintes contre la France concernant l'exclusion d'élèves d'établissements scolaires en raison du port de signes ostensibles d'appartenance religieuse.
Les enfants des familles Aktas, Bayrak, Gamaleddyn, Ghazal et Singh étaient inscrits à la rentrée scolaire 2004-2005 dans des établissements publics. Le jour de la rentrée, les jeunes filles, de confession musulmane, se présentèrent avec les cheveux couverts d'un voile ou d'un couvre-chef. Les garçons Singh étaient coiffés du keski, un sous-turban porté par les sikhs.
Le Monde-AFP, 17/07/09.
16 juillet 2009
signes de vie(s)
Bon, juste pour répondre à Chémato qui risque sa vie en nous envoyant des nouvelles du bout du monde, un petit message:
Je reviens (sous la pluie, le vent et l'orage) d'aller voir dans le petit cinéma de mon village le dernier Woody (déjà commenté plus bas).J'ai beaucoup aimé ces avalanches de mots, sa capacité à rire de ce qui (le/me/nous???) terrorise, sa façon de raconter les histoires comme une sorte de conte de fée sous acide. J'aime (plusieurs patates, donc).
bises
Je reviens (sous la pluie, le vent et l'orage) d'aller voir dans le petit cinéma de mon village le dernier Woody (déjà commenté plus bas).J'ai beaucoup aimé ces avalanches de mots, sa capacité à rire de ce qui (le/me/nous???) terrorise, sa façon de raconter les histoires comme une sorte de conte de fée sous acide. J'aime (plusieurs patates, donc).
bises
02 juillet 2009
Bonnes vacancesssssssssssssssssssssssssssss
01 juillet 2009
Whatever works
Après une fin d'année que j'ai trouvé morose : tout le monde exténué, dame nut' SDF, Doyosse nous quitte c'est sûr !
Et parfois même au bord du drame : crêpage de chignon sur les classes, conseil de discipline le dernier jour, Chemato qui s'emporte !
Pour couronner le tout 2h30 de route, aller et retour, pour 26 malheureuses copies de brevet au "collège du bout du monde" à Cesson.
Heureusement, il y a Woody
Je décide de ne pas me laisser abattre et de profiter de cette fête du cinéma qui bat son plein. J'en reviens comblé.
Woody revient à Manhattan, son personnage de vieux misanthrope au grand coeur (qu'il laisse à un autre acteur) est à nouveau malmené par une cruche jolie comme un coeur (une Scarlett Johansson bis, plus puérile et ravissante).
Des rebondissements inénarrables (et à ne surtout pas narrer !), un grand moment de cinéma, et une comédie comme seul Woody sait en faire !
Bonne vacance à tous ceux qui ne seront pas de la partie demain !
Pour couronner le tout 2h30 de route, aller et retour, pour 26 malheureuses copies de brevet au "collège du bout du monde" à Cesson.
Heureusement, il y a Woody
Je décide de ne pas me laisser abattre et de profiter de cette fête du cinéma qui bat son plein. J'en reviens comblé.
Woody revient à Manhattan, son personnage de vieux misanthrope au grand coeur (qu'il laisse à un autre acteur) est à nouveau malmené par une cruche jolie comme un coeur (une Scarlett Johansson bis, plus puérile et ravissante).
Des rebondissements inénarrables (et à ne surtout pas narrer !), un grand moment de cinéma, et une comédie comme seul Woody sait en faire !
Bonne vacance à tous ceux qui ne seront pas de la partie demain !
la parallèle des fous
Quand je pense que Claude François a péri pour nous en démolissant les briques du mur de Berlin , juste après la rencontre entre Nixon et Napoléon dans la dent creuse de Keski... Quand on voit les résultats sur l'environnement, sur les élèves, sur le parallélisme des chaussons...Ca fait peur!!!!
ps : voilà ce qu'un élève de 3e "normal" aura retenu de son voyage pédagogique...
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