Compte rendu de la formation sécurité, niveau 1, groupe du lundi matin:
Les protagonistes:
- Notre adjudant chef-instructeur:
au demeurant fort sympathique, il parlait mais surtout écrivait sans accent, c'est surtout cela qui n'a pas arrêté de me gêner durant la formation. C'est dingue comme on s'attache à ces petites choses.
"...prise de conscience de votre propre érection..." (10h51). Vu le nombre de réactions sur les visages, je ne suis donc pas le seul à avoir entendu ce truc-là. Allons-nous parler du feu de la passion et de ses dangers ?...
"On verra le non-vu" (11h16). Alors là, approche phénoménologique de la sécurité, pourquoi pas ? Après tout, c'est le Conseil Général qui régale...
"Les vieux, si on les laisse aller sur la neige, ils vont se tôler..." (11h31) Retour brutal sur terre.
- Monsieur Arbre: assis à côté de moi, il se montre assez vite dissipé. (sipé)
Déjà, pour prendre des notes, il sort une facture (de chez Hawaï Surf, 10h52) qu'il plie en deux afin d'écrire au dos. On voit tout de suite le sérieux.
A 11h05, ledit collègue sylvain émet des glouglous de ventre insupportables, difficile de se concentrer dans ces conditions.
Puis, plus tard, c'est l'erreur, d'autant plus bête qu'on arrivait à la fin de la séance:
"il faut essayer d'éteindre si c'est extinctible" (12h05).
Bon, à sa décharge, on peut comprendre que le mot incendie entraîne une réaction incontrôlée de sa part. Ne l'accablons pas.
au demeurant fort sympathique, il parlait mais surtout écrivait sans accent, c'est surtout cela qui n'a pas arrêté de me gêner durant la formation. C'est dingue comme on s'attache à ces petites choses.
"...prise de conscience de votre propre érection..." (10h51). Vu le nombre de réactions sur les visages, je ne suis donc pas le seul à avoir entendu ce truc-là. Allons-nous parler du feu de la passion et de ses dangers ?...
"On verra le non-vu" (11h16). Alors là, approche phénoménologique de la sécurité, pourquoi pas ? Après tout, c'est le Conseil Général qui régale...
"Les vieux, si on les laisse aller sur la neige, ils vont se tôler..." (11h31) Retour brutal sur terre.
- Monsieur Arbre: assis à côté de moi, il se montre assez vite dissipé. (sipé)
Déjà, pour prendre des notes, il sort une facture (de chez Hawaï Surf, 10h52) qu'il plie en deux afin d'écrire au dos. On voit tout de suite le sérieux.
A 11h05, ledit collègue sylvain émet des glouglous de ventre insupportables, difficile de se concentrer dans ces conditions.
Puis, plus tard, c'est l'erreur, d'autant plus bête qu'on arrivait à la fin de la séance:
"il faut essayer d'éteindre si c'est extinctible" (12h05).
Bon, à sa décharge, on peut comprendre que le mot incendie entraîne une réaction incontrôlée de sa part. Ne l'accablons pas.
5 commentaires:
Je plaide pour des zones d'immunité. C'est moche de dénoncer les collègues. Par exemple, je ne dirai pas quelle jeune professeure de français, lors d'un jeu, a dit que Winston Churchill était un ancien président américain. Non! Je ne dirai rien.
Ohhhhh! C'est moche! Et l'immunité alors!! Elle devrait être de mise en cas de jeu ou lorsque l'alcool coule à flot...
C'est vrai qu'on pourrait dire qu'une collègue de français pense que Gilgamesh est un dieu hindou mais on ne le fait pas par éthique ! Sans parler du Yémen qui a bien du mal à rester sur le continent africain...
Les profs d'histoire,ils n'ont pas une inspection à préparer???
ps : et si on parlait de l'accord du participe passé???
Tu viens d'employer une prétérition Chemato, effectivement, c'est moche! (Par ailleurs, je ne me sens en aucun cas concernée par tes propos, je tiens à le préciser!)
Enregistrer un commentaire